Dimanche 19 juin 7 19 /06 /Juin 16:40

Récit écrit il y a quelques temps... Puis, du jour au lendemain, nous sommes repartis
dans "son" silence et l'abstinence.
Grâce à la domination, je trouve la vie,
la fougue, un homme qui s'épanouit et manifeste ses désirs.

Définitivement, je préfère ça à la morne solitude.

 

 

 

alex danceLes vacances ? Sa maîtresse l'a quitté, ou il s'est éloigné d'elle ? Non, les vacances... on va dire, les vacances. C'est décidé. N'en parlons plus.

Moins de tensions, plus de tendresse, de baisers, de mots doux, de corps à corps. Je prends, je respire, je vis. Je prends aussi, l'exaltation, l'animalité, la violence des émotions, la domination,
l'excès qui contrebalance le manque. On ne sait jamais, que ça ne dure pas... Je suis sa maîtresse à nouveau, pour un temps, une femme désirable, et j'aime ça.

 

 

J'ai envie d'être doucement torturée, malmenée, renversée, j'ai envie de ressentir douleur et plaisir, j'ai envie de tout, tous les extrêmes pour me sentir... enfin vivante. En parallèle pourtant, ma fibre féminine me fait pleurer devant des comédies romantiques, l'amour, les belles déclarations, et les moments d'un couple que j'aimerais avoir : passer une journée sous la couette, se câliner, parler de tout et de rien... tout ce qu'on ne fait pas.

C'est lui qui mène la danse ; il dispose. Il fait le chat, vient quand il veut, n'est pas forcément réceptif à mes caresses s'il juge que ce n'est pas son moment (complètement ailleurs et me donnant l'impression d'effleurer une pierre, lorsqu'il... est en train de penser au saut du kangourou et à l'énergie dépensée pour ça, par exemple. Si si. Le kangourou ne saute pas, il rebondit. Alors moi, j'ai rebondi aussi... me tournant vers le matou. Le vrai).
Je ne (me) refuse jamais. Est-ce une façon pour lui de dominer la situation, inconsciente ? Le mâle pure souche a-t-il besoin de maîtriser, de manières indirectes ? Ses émotions, ses actes, ignorant parfois les initiatives de "l'autre" ? 

 

* * *

 

cambreeMatin. Endormie. Réveillée par un "je t'aime" qui me donne un sourire. Je n'ouvre pas les yeux ; je ne regarderai pas l'heure. Il doit être tard, mais je veux rester dans ce demi sommeil, encore. Je murmure à mon homme un "moi aussi", en m'étirant à peine, tandis qu'il vient se coller contre mon dos. Il est nu, sa peau est chaude et son odeur me fait du bien. Il bande ? Pas sûre...

Il rajoute :

- Et ce n'est pas que sexuel...


Je presse mes fesses contre son bas-ventre et mon dos contre sa poitrine, avant de lui répondre, alors qu'il m'enveloppe de son bras :

- Ah, moi si, c'est juste sexuel.
- Oui, je sais, tu en as juste après ma queue.
- Voilà.
- Tu n'es qu'une petite salope nympho.
- Ben oui.

Ce dialogue, empreint de douceurs diverses, se poursuit sur un ton naturel. J'aime nos mots d'amour décalés. Je n'ai toujours pas ouvert les yeux. Monsieur me rappelle mes devoirs de femme ? Je ne compte pas obéir :

- Bon, tu vas me faire à manger ? Il est tard.
- Non. J'ai pas envie.
- Quoi ?! Tu veux être punie ?
- Oui.  (avec un sourire de plus, amusée.)

Léger silence. Caresses, petit câlin. L'histoire semble close. Je me love contre lui, puis il me  questionne, comme on discuterait théories devant un thé et des petits gâteaux :

- Tu préfères ma main, la cravache ou le martinet ?

J'hésite... et lui précise que la cravache, quand même, c'est ce qui fait le plus mal. J'opte pour le martinet, à cet instant. Mais j'aime aussi le contact de ses mains, qui me marquent longtemps.
Il se détache de moi d'un coup, se lève et part vers son armoire. Je ne le prends pas vraiment au sérieux. Comme ça, au saut du lit, mes yeux encore brouillés de sommeil ? Il oserait ?

Il oserait.

Il passe son bras sous mon corps, et me met à quatre pattes. Soulève ma nuisette, baisse ma culotte juste sous mes fesses, m'ordonne de me cambrer, et déclare :

- Ça sera cinquante coups.

Ouah... Cinquante ? Cinquante... Non, il n'ira pas jusqu'au bout.
Et malgré moi, en silence, je commence à compter.

Un... deux... trois... encore un... encore... jusqu'à ce qu'il me demande si je sais où on en est. Oui, je sais : huit. Alors, il continue, et compte à voix haute. Alternant irrégulièrement fesse droite et fesse gauche, cuisses, arrondi de mon derrière... Quelques coups plus légers, quelques coups beaucoup plus cinglants. Je me concentre sur les sensations, et retiens mes gémissements. J'espère le prochain claquement. Les silences débordent de tensions dûes à l'anticipation, l'excitation, la crainte. Le coup suivant me surprend à chaque fois, tombant après une, trois ou cinq secondes, aléatoirement.  Cela parait peu, mais la différence dans l'appréhension mêlée à l'attente est importante.

Quinze. Il annonce le chiffre, et exige une réponse : combien en reste-t-il ? Je suis ailleurs,  au milieu des oreillers, mais ailleurs, le postérieur offert, subitement arrachée à mon cocon. J'ai un mal fou à me  ressaisir pour faire cette opération digne d'un cours primaire. Les secondes passent. Je réponds. Il continue.

Trente ! L'un de nous s'est trompé dans le décompte. Je pense qu'au final, j'en aurais eu trois ou quatre de plus...
Il m'intime l'odre de mieux me cambrer, je m'exécute. Je tente de ne pas bouger. Ne pas esquiver, ça ne sert à rien. Tenir. Se dépasser. Relever le défi, mériter l'après... Partir loin, pour mieux revenir.

Quarante ! J'ai le vertige et le souffle coupé, les fesses en feu. La douleur va et vient, comme une brûlure qui s'estompe rapidement. C'est là que mon homme s'arrête, passe sa main sur mes courbes rougies, lentement, apaisant ma peau, puis la glisse au creux de mes cuisses. Cruauté feinte et jouissances, morsures des lanières, tout est mélangé, décuplé.

Il reste dix coups.

À cinquante, ses doigts emplis de sa salive viennent se  plaquer sur mes lèvres intimes. Caresse tendre et mouillée, glissante, plaisir doux, tandis que mon postérieur irradie. Mon amant vient derrière moi, entre mes genoux. Me mord le cou. Il a laché le fouet.

Il bande ? Sûre... Oui, il bande. Et me pénètre.

 

* * *

 

Quelques heures plus tard, je passe devant le miroir, en string et t-shirt, et je regarde ces traces,  tatouages de nos ébats. Je me surprends une fois de plus à les aimer, à désirer les immortaliser.  La sensation qui fait mal part vite, mais ma peau reste marquée longtemps. Je me demande si je n'ai pas un brin de folie bien caché (ou pas)... mais tant pis, si je ne suis ni raisonnée ni raisonnable. Ça me fait sourire. Il faudra que je suggère à mon dominateur amoureux de me faire de belles et grandes lacérations toutes en esthétisme, et de les photographier, au soleil, dans notre intimité. Me prendra-t-il pour une drôle de fille ? Peut-être, oui... Tant pis.

J'ai tenu, j'ai repoussé mes limites, et c'est grâce à "lui". Je ne cherche pas à souffrir gratuitement, non. Je me livre à lui et lui fais cadeau de ma confiance. Il m'accompagne, pour un voyage unique, juste à mon écoute.
J'ai failli pleurer, j'ai senti la vague monter en moi. Un trop plein d'émotions, difficiles à définir, inexplicables, incontrôlées, grisantes, nées de cette complicité particulière, que j'offre à mon amant. Comme des confidences que je lui ferais, sans mots. Quel plaisir retire-t-il, lui, de tout ça ? Il faudrait que je lui pose la question. Ne se consacre-t-il pas entièrement à moi, dans ces instants-là ?

Et je me rappelle cette étudiante de vingt ans, qui était en cours avec moi. Un peu timide, souriante, gentille... et intrigante. Katia L., plus connue sous le pseudonyme de Vanessa Duriès.  Elle venait de publier « Le Lien » et je l'avais lu, par curiosité. J'avais vingt ans moi aussi, j'étais encore vierge ! Cette lecture m'avait dérangée, un peu, mais pas tant que ça. J'y ai compris beaucoup de choses, de ce milieu que je diabolisais de trop, avant. Et surtout, je faisais... le lien (!) avec la jeune fille que je cotoyais quasi quotidiennement, simple, humaine, vraie. Avec des considérations de jeune fille, et avec d'autres qui sont... le lien avec ce billet : elle comptait et regardait en cours les marques sur ses bras, ses cuisses, les dévoilant fugitivement, alors que le reste du temps, rien ne transparaissait de sa double vie. Elle semblait heureuse et fière, et ça m'étonnait.
Maintenant, je comprends...  


 

martinet morsure

   


J'espère ne pas vous choquer... Je suis une personne saine, si, je vous jure. ;)
J'ai rajouté un petit "effet" sur la photo, pour atténuer les rougeurs...


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Commentaires

C'est un découverte mutuelle et dans ton cas il ne s'agit pas d'une relation de Maître à Soumise, mais entre Amants, ce que je trouve plus ... envisageable !
Parcours initiatique où l'on repousse certaines limites physiques, psychologiques, pour en final savourer l'essence même de ce partage si singulier ...
Très beau récit !
commentaire n° :1 posté par : Philo le: 19/06/2011 à 18h30

Certainement plus facile entre amants, qu'une relation maître/soumise plus "froide"...

Quoique ce genre de relation, même en dehors du couple amoureux, doit être très forte, particulière et unique. Elle se base à un autre niveau.

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 03h16
Que je vous comprend! Rien n'est plus insupportable à vivre que la solitude. De la à subir un tel chatiement , je n'imagine pas que cela puisse être par dépit Son plaisir? L'offrande de votre soumission endurée...
commentaire n° :2 posté par : Psganarel le: 19/06/2011 à 19h09

Le "châtiment" n'est en effet pas par dépit. Il est une façon de se retrouver, une complicité particulière.
Mais je ne veux pas mettre solitude et soumission côte à côte. Il faut bien faire la différence entre le quotidien, et ces moments intimes.

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 03h29
Nan ça ne me choque pas... mais je pense que je serai trop douillette pour ça! J'aurai l'air con à me mettre à pleurer au bout du 2ème coup ! ^^
commentaire n° :3 posté par : LiLie le: 19/06/2011 à 22h44

Tout dépend. ;)
Il faut y aller doucement, petit à petit. Parfois, en plusieurs fois, repousser les limites lentement...

 

Si jamais ça fait "trop" mal, ne pas hésiter à faire une pause, retrouver la tendresse, garder la complicité, la confiance... ne rien briser, ne rien stopper définitivement. Accepter l'erreur, elle n'est pas bien grave. C'est surtout ça. Ajuster, et recommencer... pour mieux se trouver (se trouver l'un l'autre, et se trouver soi-même).

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 03h32
Etrange confidence faite sur un ton à la fois fasciné et assumé. On sent comme une transcendance, un "au-delà" de soi qui sublime des désirs inavoués.
Pour la néophyte que je suis, c'est intrigant. A défaut de comprendre tout à fait, je peux imaginer, à la fois le don de soi, et le cadeau reçu. Comme si donner et recevoir ne faisaient qu'un. Et te révélait à toi-même.
Très bon article, en tout cas. Encore !
(une seule photo ?)
commentaire n° :4 posté par : Myriade le: 20/06/2011 à 02h15

Merci ! :)

Oui, une seule photo ! Pour l'instant du moins... pour le coup, avoir un homme pour prendre ces clichés là serait nettement mieux. Qu'il tente de me mettre en valeur, de me révéler...



Regard fasciné et assumé, il y a de ça en effet.
Assumé, tout à fait, c'est la base nécessaire. Pour assumer les erreurs, et passer outre, reprendre, oser recommencer, aller plus loin... Assumé parce que je suis somme toutes saine d'esprit (si si) et je ne fais pas de cette douleur, de cette soumission, mon mode de vie général.
Ensuite, c'est sûr, ça reste hors norme. Je n'aurais pas envisagé ça il y a quelques années. Mais justement parce que je n'assumais pas. C'était pour moi, juste synonyme d'infériorité générale de la femme. Or, ce n'est pas ça. J'avais une vision réductrice.
Fasciné aussi, parce que je m'étonne d'aller si loin, de trouver la liberté dans un acte aussi paradoxal... et c'est difficile à expliquer, dur de mettre les mots exacts dessus.

Ça doit être dans l'oubli et le dépassement de toutes les "règles" qu'on nous impose... quelque chose comme ça. Transcender la douleur, y trouver quelque chose d'autre, un plus.

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 03h39
Les relations avec monsieur se "normalisent" et j'en suis heureux pour toi. Pourquoi utilisé-je des guillemets ? Ce n'est certes pas en rapport avec l'expérience cuisante que tu nous fais partager avec toujours autant de talent (il n'y a pas de mal à se faire du bien et inversement :-))

Non, si je tique, c'est plus sur le "je ne (me) refuse jamais" et le "je veux croire que c'est les vacances". Cela ne regarde que toi, bien sûr, mais cela semble prouver que cette relation "dominant-dominée" ne se limite pas qu'à l'intime mais représente une constante dans vos rapports... alors que tes différents billets témoignent que cette situation n'est pas toujours bien vécue. Soumission sexuelle consentie et infériorité dans le couple, deux faces d'une même médaille ? Je ne le crois pas, quant à moi.

Mais encore une fois, il n'y a que toi que cela regarde. Alors je dis simplement merci pour ce texte joliment érotique, toujours accompagné de superbes photos.
Carpe Diem !
commentaire n° :5 posté par : Capitaine le: 20/06/2011 à 03h27

Intéressant, ce terme, normaliser, pour ce genre de "relation" tout sauf normalisée, justement ! ;)
Mais comme précisé en haut du billet, entre l'époque où il a été écrit, et celle où il a été publié, les choses ont changé plusieurs fois...

 

Tu as mis le doigt sur un point important : la relation dominant/dominée ne doit pas se généraliser au quotidien, en effet ; je ne l'accepterai pas. Et cette idée, qui parfois surgit, casse tout le reste, dans l'intime. Je reste vigilante. Cela ne doit en aucun cas être les deux faces d'une même médaille. Pour moi, très clairement, ça ne peut pas marcher.

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 04h25
enfin une photo d'homme que j'aime tres sensuelle la femme n'est pas assez éclaboussée j'adore le mouillée'la mouille je voudrais q'une femme m'inonde de cette manière sentir l'exitation monter comme un feu de cheminée et petit a petit la braise m'envahir de tout mon etre et lui offrir ma propre rosée d'amour j'adore quand mon sexe bande et mouille de partout.
peut etre c'est se que tu ressent quand tes fesses et ta croupe est en feu ?
bonne soirée papillon de nuit:)
commentaire n° :6 posté par : jp le: 20/06/2011 à 23h25

Personnellement (je m'arrêterai aux commentaires des images) ;) j'aime beaucoup les photos où l'eau est présente, un peu sous toutes ses formes. L'élément aquatique me plait. Sensuel, prenant différentes formes, esthétique... quelque chose de délicat et léger.

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 04h28
quel article ...Bravo .
commentaire n° :7 posté par : french onion le: 21/06/2011 à 09h45

Merci... :)

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 04h28
Ce nouveau texte fait plaisir à "voir" (lire serait plus adéquat mais...). Vous reprenez du poil de la bête, je n'aimais pas l'état d'esprit qui transpirait des articles précédents.
Quant au contenu de ce texte, je vous rejoins dans la sensualité des jeux DS entre amants adorant aussi bien passer du côté du manche (de la cravache) que de l'autre côté.
commentaire n° :8 posté par : Etienne le: 22/06/2011 à 12h06

Ah, l'état d'esprit qui transparait n'est pas chose qui se commande (et ne dépend pas que de moi, l'air de rien).
Je peux toujours le cacher et parler d'autre chose, mais ce n'est pas le but de mon blog, après tout... ;)

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 04h41
Un message qui ne laisse pas de marbre, tout comme l'opposition entre la dureté du châtiment et la douceur de tes jolis courbes féminines...
commentaire n° :9 posté par : patrick le: 30/06/2011 à 23h18

Merci ! :)
Contente de ne pas laisser tout le monde de marbre...

réponse de : Ombres & Caresses le: 01/08/2011 à 04h55
Voilà, ici c'est Aline ainsi que sur facebook où j'ai demandé à être ton amie, où je te parle de ton blog en général :)

Tu vois, ce récit, avec un peu plus de soin, en le rendant un peu plus direct, c'est exactement ce qui plaît par ailleurs. Le fait que du lit et de la fessée clairement décrite tu passes à des souvenirs d'étudiante, faisant "le lien" avec un écrivain que tu as connue (c'est étrange, moi je te poserais bien plein de question à ce sujet, c'est étrange que personne n'ait relevé ce fait marquant)est très intéressant.

C'est un bon récit érotique, tout simplement !
commentaire n° :10 posté par : Aline le: 10/09/2011 à 22h22

Bienvenue par ici, alors... :)

 

... Et merci pour ces "conseils".


Rendre ce texte un peu plus direct ? Il faudrait que je réfléchisse comment. ;) J'ai eu peur en fait de presque faire trop direct, trop cru. L'idée n'est pas la souffrance pour la souffrance, non, alors j'ai tenté de donner une explication sur mes émotions. Loin d'être facile, d'ailleurs. Puis la photo, la peur de choquer... la plupart des gens "normaux" se poseraient des questions sur "pourquoi j'aime ça". On associe vite à la violence... J'ai conscience que ça peut déranger, mettre mal à l'aise, mais pour moi, ça n'a rien de malsain, c'est autre chose que la douleur.

 

J'ai remarqué, moi aussi, que personne ne posait de question sur l'auteur ou le livre. ;)
Cette oeuvre ne fait peut-être pas partie des lectures "classiques", si on n'est pas un minimum attiré par ce domaine ? Pourtant, elle est connue dans le "milieu".
Mon homme avait lu cette "histoire". Du coup, il avait eu la confirmation que c'était bien une (très jeune) femme qui avait écrit. Il se demandait si un homme se cachait derrière ce nom d'auteur...

Pose les questions, ici ou via Facebook, si c'est trop personnel. J'y répondrai volontiers (dans la mesure du possible).

réponse de : Ombres & Caresses le: 11/09/2011 à 03h31
Par le jeu des rebonds de liens de commentaires en commentaires je viens de lire ce post. Il est très beau et présente de façon naturelle le passage à la fessé. On souffre avec vous au fil du décompte.

J’ai été étonné de retrouver à la fin du texte cette connexion avec Vanessa Duriès. Vous avez lu son livre alors que vous la côtoyiez les bancs de l’université ou bien est-ce plus tard (trop tard) que vous avez connu sa prose ? A cette époque la soumission était déjà un sujet d’attrait ?

Au plaisir de vous lire,

Xu
commentaire n° :11 posté par : Mon Xu le: 05/10/2012 à 18h17

J'espère que vous n'avez quand même pas trop souffert... ;)

 

Quant à Vanessa Duriès, j'ai en effet lu son livre quand j'avais 20 ans, alors que nous partagions les mêmes "bancs d'université". A cette époque, le sujet ne m'attirait pas du tout (c'est venu il y a quelques années seulement), je l'ai lu par curiosité, par "ouverture d'esprit" aussi, pour connaître mieux cette jeune femme intrigante, et puis, grâce à elle, j'ai compris des choses sur ces pratiques.

Ça m'a aidée à comprendre, à accepter, même si je n'avais pas envie de "pratiquer".

Par contre, je n'ai pas du tout lu ce livre dans une optique "d'excitation".

réponse de : Ombres & Caresses le: 11/10/2012 à 00h10

Nuit Frissons

  • Femme
  • 48 ans, divorcée. Avec l'envie de découvrir toujours plus. À la recherche d'émotions, de complicité et de douceur. Aime la photo ; s'enrichir au contact des autres ; écrire, aussi, trouver les mots pour révéler les sentiments.
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Quant aux photos, les miennes sont "estampillées" des mots Ombres et Caresses.

 

 

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