Un avantage à avoir pris du poids...
... est que j'ai une poitrine, maintenant. Positivons !
Alors, je me suis amusée :
* * *
... Et je vais passer à un tout autre sujet, tout en gardant le terme "plongeon"
en commun : je ne peux pas vous dire comment va évoluer ce blog dans les temps qui viennent. Je suis dans une vilaine phase de "à quoi bon", je n'ai qu'une envie : me blottir
sous ma couette et ne plus en sortir.
Je n'ai eu que quelques jours de vacances cet été, qui se sont avérés tristes, perturbants. Je navigue depuis entre pleurs,
tristesses et colère. Je suis désabusée.
Je vis avec un homme qui "prend sur lui" (je reprends ses mots) pour passer 36 heures de vacances avec moi, qui ressent la nécessité de m'énumérer ses besoins / envies, dont je ne fais
pas partie... et j'en suis à envisager sérieusement la séparation. Il donne l'impression de me pousser (consciemment, ou pas ?) à partir, de par ses attitudes qui flirtent avec la
méchanceté. Ça, c'était pour juillet.
Pour août ? Aucun soutien venant de ma famille, au contraire, j'ai eu droit à quelques complots, accusations fausses, mesquineries, mépris, insultes, mensonges... dont ma fille a
souffert. J'ai donc coupé les ponts avec eux (et je suis partie loger dans un hôtel avec ma progéniture, étant donné que je passais mes mini vacances chez eux, sans homme et avec ma
fille, pour me... détendre enfin, un peu, avant la rentrée et les grandes décisions difficiles...). J'ai coupé les ponts, et j'ai mal. Pas de ne plus leur parler, non. Mal d'avoir pris en
pleine figure autant de méchanceté gratuite, injuste, alors que j'aurais voulu du réconfort, de l'écoute un peu, et surtout du repos, de la légèreté. Je n'accroche pas à ce jeu de langues
de vipères.
J'ai envie d'un homme qui désire passer des vacances avec moi, au lieu de me laisser partir seule avec ma fille, heureux de retrouver son célibat. Tout gérer seule est si triste, et a
rajouté à mes angoisses. J'ai envie de partage. Avec lui, ce n'est plus possible. Je vais mal, je n'arrive plus à le cacher, mais si un jour il me demande pourquoi, je lui dirai de juste
me laisser tranquille. Il n'est pas capable, ou n'a pas envie, d'être un compagnon, d'écouter, de comprendre.
En conclusion : j'ai perdu 1,5 kg en moins d'une semaine. Positivons, encore : bientôt je pourrai refaire de belles photos ? (L'envie est partie très loin... loin avec ma libido,
d'ailleurs.)
Je ne sais même plus si j'ai envie de m'épancher ici, parce qu'il est évident que ça ne va plus rien changer... je ne peux pas tout changer seule, je ne peux pas porter notre couple,
seule.
Nous verrons bien ! Ne m'en veuillez pas si je me fais plus discrète, si je n'ai pas l'énergie de répondre aux commentaires dans l'immédiat... Et je sais, j'ai plusieurs billets en
retard. Ils seront publiés, mais je manque de courage.
En plus, cerise sur le gâteau, nous avons des soucis financiers (enfin, surtout moi, en fait, et ce n'est pas ma faute)...
Pour garder le sourire, on peut dire que j'ai passé des « vacances pourries » ! Il faut vraiment que je l'achète, ce livre ! Il me rendra peut-être les
événements un peu plus amusants, avec un brin de recul... 3,99 € pour ce recueil collectif de très courts textes,
publié chez Edicool, une "jeune" maison
d’édition numérique.
Le lien entre mon décolleté et mes vacances ratées ? Aucun. ;)
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Notes (in)connues