Catégorie : duo de caresses.
... Résumé de l'article.
J'ai envie de lui dire... "tu me manques. Je n'ose plus te toucher, j'ai peur que tu t'esquives, encore. Je ne demande même pas que tu viennes vers moi, juste que tu acceptes mes caresses." Clic...
Il va me demander comment il peut me manquer, vu qu'il est physiquement dans la même pièce que moi, vu que nous dormons dans le même lit. Ce n'est pas ça, qui me manque. Il n'est pas juste "un corps". Pourra-t-il comprendre ça ? Je n'en suis pas sûre.
Il a eu des mots qui me font douter sur sa perception. Interprète-t-il mal mes intentions, mes envies ? Nous avons eu des mots, une discussion de trop, la passion ne devrait se dévoiler que dans nos ébats amoureux, pas dans nos débats...
Des mots douloureux, pour nous deux, mais j'ai toujours envie de lui, malgré mon désir qui s'en va. Il va penser que je
ne veux que le plaisir physique. Il n'a pas compris. Ça, je n'en veux pas, au fond. Ce n'est pas ça.
Je n'y arrive pas.
Ne voit-il donc dans nos moments que le côté "baise" ? Suis-je la seule, en fait, à avoir trouvé cette fusion, cette communication, ce sentiment très fort, ces émotions si particulières ? Ai-je tout imaginé ? Ai-je écrit sur une entente rêvée ?
Cinq nuits. Cinq nuits dans le silence. Cinq nuits allongés côte à côte dans le noir, comme deux inconnus. Cinq nuits à espérer qu'il vienne vers moi, me touche, me câline à nouveau. Cinq nuits à ne pas oser, à tenter timidement, essayer juste un contact, des caresses. Mais essayer toujours, essayer encore... Cinq nuits à me taire quand il m'ignore, quand il se dérobe. Cinq nuits à pleurer sans faire de bruit. Cinq nuits à ne pas dormir. Cinq nuits à prendre presque comme une victoire le moindre contact de ses lèvres, les rares "je t'aime" en réponse aux miens. A sentir mon coeur se désserrer quand il vient contre moi dans son sommeil, quand il presse ma main, un peu, si je prends la sienne. Cinq nuits que j'essaie d'ignorer que j'ai mal, que j'essaie de faire comme si ce n'était pas grave. Cinq nuits à me demander quoi faire. Cinq longues nuits.
Attendre, insister ? Le laisser tranquille ? Tout mettre en oeuvre pour le re séduire ? Se sentira-t-il étouffé ? Préfère-t-il être seul, libre, pour me rejoindre plus tard ? Actuellement, j'opte pour cette réponse-là, en prenant le risque qu'il m'accuse de ne plus aller vers lui, de ne plus prendre d'initiatives, je le sais. J'essaie donc d'être présente, en lui laissant son espace. Disponible, mais discrète. Je ne sais pas comment il le vit.
J'ai l'impression que tout s'est éteint d'un coup. Il me faudra le ré apprivoiser. Il me faudra être patiente. Il me faudra attendre qu'il retrouve le désir de revenir vers moi, et le désir de moi, tout simplement.
Moi, je l'aime, fort. Moi, j'ai toujours envie de lui, malgré tout. Alors, je le regarde. Quand il me tourne le dos, je le regarde. Quand il se lève le matin, nu, je le regarde. J'ai envie de toucher sa peau. Effleurer ses épaules. Embrasser son cou. Me coller à lui. J'ai envie de sa chaleur, son parfum, son goût. J'ai envie de me blottir dans ses bras. J'ai envie d'être nue contre lui. J'ai envie de le sentir au fond de mon ventre. J'ai envie de ses sourires, de ses regards.
J'ai envie de me réfugier contre lui, mais sans réponse de sa part, je crois que je préfère encore rester seule... Je ne sais pas trop. Je respire son odeur sur l'oreiller, quand il a quitté le lit, et je me dis que l'amour rend décidémment pitoyable.
Leonard Cohen en tête, régulièrement. Un peu de nous, pour moi... "I couldn't feel, so I learned to touch." "You see, I used to live alone before I knew you."
"And remember when I moved in you, the holy dove was moving too."
Celui que j'aime ne lira jamais ces mots, très certainement. Peur qu'il ne comprenne pas. Pourtant, j'aurais aimé qu'il sache, qu'il réalise et accepte enfin mon amour. Le sentiment, le charnel.
J'écris ici, pour garder le bon, garder ce que j'aime. Et lui, y croit-il encore ? Ou pense-t-il que c'est fini ?
Je ne veux pas le perdre. Je ne veux pas me tourner vers d'autres bras, je le veux lui. J'ai peur.
Je veux des mots d'émotions.
La photo, c'est pour un message écrit par quelqu'un qui ne me connait pas réellement, qui m'a
touchée.
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Tout a commencé en juillet 2010... L'ombre et les caresses se sont presque imposées. Venues naturellement, avec le désir de confier ces pensées légères, sensuelles, ces souvenirs, doutes ou questions.
Quant aux photos, les miennes sont "estampillées" des mots Ombres et Caresses.
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• Instants désirs : en solo... Envies, rêves, fantasmes.
• Duo de caresses : en couple.
• Ombres libertines : voire plus...
• Bulles de liberté : heures légères et autres hommes.
• Frissons : photos, auto-portraits.
• En quelques mots : pensées, émotions, sur le vif.
• Souvenirs, petites choses : souvenirs, bonheurs.
• Murmures & plumes : récits et lectures.
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En Cascade...
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Desseins dessinés
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Un peu de moi... mes - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
J'aime... ma fille, les chats et leurs ronronnements, le chocolat, la sensualité, la lingerie, m'habiller en noir,
l'animalité, les fellations :p être attachée, les morsures amoureuses, la complicité, les caresses, les massages... la photo, la musique qui me fait pleurer, la musique dans ma bulle,
écouter jouer mon musicien, regarder un bon film... les bougies (pas que pour la cire) et les luminosités douces, la Bretagne, les Alpes, les cascades, les ruisseaux, la mer et l'Océan,
le bruit des vagues... les mains masculines, respirer au creux du cou d'un homme, dormir contre mon amant, embrasser sa peau... l'innocence des bébés, les sourires, les freesias, les
flocons de neige et le silence feutré qui va avec... le parfum de l'air après la pluie, l'odeur du café au lait et du pain grillé... les fraises.
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Sensations Plumes...
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"Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées."
Sigmund Freud.
"L'érotisme, c'est quand on le fait, le porno, c'est quand on le regarde."
Yvan Audouard.
"L'innocence est quelque chose de très érotique."
Armistead Maupin.
"Le chocolat est divin, moelleux, sensuel, profond. Noir, somptueux, gratifiant, puissant, dense, crémeux, séducteur, suggestif, riche, excessif, soyeux, doux,
luxueux, céleste..."
Elaine Sherman.
"La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel, et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte."
Kate Chopin.
Un très beau texte ? Je ne dirais pas ça. Des mots sortis du coeur, un besoin de me "confier", même dans le vide, le flou, l'obscurité. D'extraire tout ça de moi, au milieu de la nuit, pour repartir un peu plus légère, peut-être... peut-être.
Cet article est spontané, maladroit, avec des répétitions, des problèmes "d'agencement", des passages manquant de clarté... mais il m'a permis de tenir un peu plus longtemps dans les silences.
Je n'avais pas fait ce blog dans ce but-là, à l'origine.
Je voulais de la légèreté, de l'érotisme. Poser et garder mes émotions. Ma vie, mes sentiments, mon point de vue, mais pas dans la tristesse.
Je sais que je ne suis pas la seule inspiration (loin de là) de mon homme, mais la réciproque n'est pas vraie. Si mon envie d'écrire n'est pas nourrie par ce que je partage avec mon amant, je ne sais pas trop où ira ce blog. Je ne veux pas chercher ici (ou ailleurs), ce que je voudrais trouver chez lui... même si pour lui, manifestement, il est difficilement soutenable d'être l'unique objet de mes désirs. (Peut-être voudrait-il légitimer le fait que lui désire d'autres femmes ?)
Je sais que ces jours derniers, l'absence malgré la présence, la frustration, le manque, ont amené mon esprit à vagabonder, fantasmer, imaginer, avec d'autres hommes... souvent juste de la tendresse, une main sur ma peau, un contact... rien que ça. Re sentir ma peau vivre sous des mains chaudes et masculines. Mais ce qui a motivé ça n'est pas sain.
(Et bienvenue par ici... bonne promenade parmi quelques paragraphes.)
Très bien résumé... Tout tient dans une question.
Le temps et ma patience y répondront.
Les envies et la frustration qui conditionnent le manque de l'autre, même s'il est omniprésent.
Le doute et le refus du premier pas.
C'est dommage pour vous.
C'est dommage pour lui également, quand on a la chance d'être aimé !
Cette métaphore des dessous est bien trouvée.
En effet, ces mots-là sont plus personnels qu'un récit érotique (qui peut être juste imaginé, au fond, même si ce n'est pas le cas ici) ou qu'une photo d'un corps féminin impersonnel (vu que sans tête).
Comme vous dites (tu dis ? Je passe du vouvoiement au tutoiement régulièrement, je crois), c'est dommage. Je n'aime pas cette sensation de gâchis...
Sensation de gâchis, temps perdu, désirs perdu, plaisir perdu ...
Temps perdu, non... Si le temps peut arranger les choses, c'est bien.
Gâchis, oui.
Désirs perdus, oui et non... J'en ai toujours, en moi, en fait.
Plaisir perdu, oui. Forcément. Seule, ça ne s'apparente pas au (vrai) plaisir, je trouve.
Tout dépend. Pas si longtemps, pas si fort. Pourquoi vivre à deux, si c'est pour nier l'existence de l'autre, un peu plus d'une semaine ? Repousser ses caresses, les ignorer, s'arranger pour les éviter, et ne rien donner ?
Rien. Huit jours sans une seule caresse sur ma peau. A ne pas accepter ma tendresse. Accepter, juste ça, m'aurait rassurée.
Je me suis dit qu'il essayait lachement de me faire comprendre que c'était fini.
Peut-être hésitait-il. Je ne le saurai jamais.
Dans un autre article, j'ai parlé de se retrouver mieux, plus fort.
Mais au fil du temps, ça ne marche plus comme ça.
Nous avons fini par "timidement" nous retrouver, là. Il n'y avait pas la passion d'avant, dans nos ébats. C'était doux, c'était bon, mais triste quelque part aussi, pour moi. Beaucoup d'émotions contradictoires... et beaucoup d'amour, aussi.
Mais l'amour ne suffit pas toujours.
Et puis il m'avait clairement dit, son manque de désir pour moi, avant cette longue semaine d'absence.
Il aurait peut-être fallu alors un break réel... mais c'est aussi prendre un sacré risque. Puis l'absence réelle n'a donné de vraies retrouvailles qu'une seule fois (voir article "distances effusions").
Désirs perdus ... ceux qui ne s'expriment pas comme ils devraient. Le désir est toujours présent fort heureusement, ou hélas, selon le degré de frustration ...
En fait, je m'exprime assez mal ! ;)
Baisers.
Il faut essayer de se dire que même ce temps-là n'est pas "perdu". :) Il a forcément servi à quelque chose, a engendré des événements, amené des réactions, aidé à réaliser, à avancer... à décider. ça peut faire mal, mais c'est notre chemin que nous parcourons.
La plupart des hommes sont des " taiseux " et ont beaucoup de difficultés à exprimer leurs sentiments et à montrer leurs émotions...
Je comprends parfaitement cette douleur de l'attente d'un geste tendre, d'un signe de réconciliation des coeurs tant il est vrai que pour nous, femmes, il est difficile voir impossible de dissocier l'affect du charnel...
Je ne connais pas votre histoire mais je crois qu'il arrive un moment où les messages infra-verbaux ne suffisent pas et la nécessité de se dire à l'autre devient incontournable. Si un dialogue ouvert n'est pas envisageable, pourquoi ne pas lui écrire ton ressenti et tes attentes ? Ce doute qui t'envahit et te ronge, l'interprétation que tu fais de son attitude demandent des éclaircissements. Encore faut il être deux pour dialoguer mais je crois que cela vaut la peine de lui dire clairement les choses et la façon dont tu ressens cette situation.
Bien sûr, c'est une prise de risque et j'imagine ta crainte d'entendre en retour des paroles qui font mal mais au moins les choses seront clarifiées et il me semble que cela vaut mieux que le poids du silence...
Si sa parole se libère alors tu y verras plus clair et s'il y a un choix à faire tu seras en mesure de le faire de façon plus éclairée et constructive.
Voilà ce que j'en pense mais comme le dit le proverbe " les conseilleurs ne sont pas les payeurs !"
J'espère lire ici de futurs billets emplis d'espoir et de renouveau : c'est le bonheur que je souhaite de tout coeur!
Je me permets de t'embrasser avec affection
Elise
Merci beaucoup pour ce message, qui fait partie de ceux qui ont amené quelques larmes. J'ai été réellement touchée à sa lecture.
Je crois que nous sommes deux, à être trop silencieux, à ne pas arriver à parler, sans être débordés par les émotions. Les sentiments exacerbent tout. Tout est pris trop à coeur, chez lui comme chez moi.
Nous tentons, par écrit. Moi, ça me permet de prendre mon temps, de re travailler mes mots, de ne pas dire trop de choses regrettables sous le coup de la colère. De vive voix, je perds trop vite mes moyens, et ne sais comment répondre, même aux attaques évidentes, tellement je suis déstabilisée.
Mais même par écrit, il va s'attarder sur un point qui lui déplait, sans voir tout le reste à côté. J'ai tenté (en vain ?) là, d'expliquer certains de mes actes, la volonté qu'on se retrouve, qu'on retrouve une complicité, même timide.
Trop souvent, c'est en vain. Il ne croit que ce qu'il pense lui ; c'est sa seule vérité. Je peux démentir, il ne changera pas d'avis. Et je me décourage face à ça. En plus de la tristesse, c'est une façon de me renier, nier ce que je suis, pense, ressens.
Aujourd'hui (3 octobre, j'ai été longue à revenir ici) nous semblons repartis pour un tour. Espérons que celui-là durera... mais je n'ai pas encore retrouvé la sérénité.
Il a peut-être simplement besoin de se retrouver, de régler d'autres questions pressantes. Il est là, c'est déjà ça !
Continuez à le caresser doucement, tendrement. Il a besoin de le sentir. Continuez à lui dire votre amour. Il a besoin de l'entendre…
Après… arrivera ce qui doit arriver. Je ne connais pas la fin de l'histoire, pas plus que vous, pas plus que lui.
Merci de nous partager ces mots qu'on a tous un jour plus ou moins vécus !
L'allusion au mythe m'a fait sourire. ;)
Mais là, c'est mon homme, lui-même, qui se dit obsédé... (mais pas par moi, ces derniers temps). Ceci dit je conçois tout à fait que s'il est mal, il a besoin de recul, et ne me désire plus (mais ça fait mal). Le hic, c'est ça : les autres femmes, il les désire, le monde porno et ce qui va avec, aussi.
Le comble, c'est que les hommes que j'ai connus avant faisaient l'amour pour se sentir mieux, pas l'inverse. Et m'ont donc reproché mon manque d'entrain quand j'allais mal.
Actuellement, même si ça va mal, je voudrais garder un contact charnel (pas juste du sexe) pour qu'on se dise encore qu'on s'aime, sans avoir recours aux mots.
Et puis non, il n'est pas "là". Je ne veux pas juste "un corps". (sinon j'achète une real doll masculine !) ;)
Je ne veux pas sa présence constante non plus. Je voudrais qu'il ne m'ignore pas, quand nous sommes sous les mêmes draps.
" Continuez à le caresser doucement, tendrement. Il a besoin de le sentir. Continuez à lui dire votre amour. Il a besoin de l'entendre… " : merci. Ça semble avoir porté ses fruits. J'aurais eu juste besoin de le sentir, moi aussi...
Si c'était à refaire, je crois que je lui ferais lire les lignes que je n'avais pas écrites à l'époque. Ca aurait changé la suite de l'histoire ou pas, mais au moins, ça n'aurait pas laissé le regret de ne pas avoir eu le courage de dissiper le malentendu.
Mais bon... chacun son histoire et il est si difficile de donner des conseils aux autres...
Tout d'abord, bienvenue, et merci d'avoir laissé un message.
J'ai écrit hier un article sur les lecteurs dans l'ombre... en pensant justement à de tels messages, qui font réaliser qu'en fait, on n'est pas seul... :)
Pourquoi ne pas lui faire lire ?
J'aimerais bien, pour différentes raisons : qu'il me comprenne mieux, qu'il sache que je l'aime, qu'il commente mes photos, ou me dise son ressenti par rapport à mon écriture, par exemple... mais j'ai peur qu'il reste silencieux, alors que son avis serait celui qui m'importe le plus. Et ça ferait encore plus mal, en fait. Et il me redirait que mon avis n'est pas ce qui lui importe le plus, dans la vie (c'est son droit, mais doit-il m'interdire mes sentiments pour autant ?)
J'ai aussi peur de ses jugements trop secs.
Je sais qu'il s'attardera sur des points négatifs, au lieu de voir le positif, au lieu de réaliser que je l'aime, malgré nos différends.
Je pense qu'il n'aimera pas être "mon inspiration". Il m'a là aussi clairement fait comprendre que je ne suis pas sa source d'inspiration. Il ne veut pas d'une telle "responsabilité", ou il veut légitimer son droit à "s'inspirer" ailleurs uniquement.
(Je crois que je me répète. Il est tard)
Les écrire peut aider mais souvent, ravive le mal et l'on se sent démunie face à ce que ne comprends pas et qu'on ne veut accepter
On ne peut donner de conseils, juste vous dire qu'on est là pour un mot, un geste, une oreille attentive
Je vous embrasse
Les écrire aide à se "vider" du mal, pour moi. A accepter, à y voir clair, parfois à prendre des résolutions.
Là où ça ravive le mal, c'est quand on réalise que celui "en face" ne comprend toujours pas...
En tous cas, merci pour ce message.
Troublant de pouvoir se confier ici, d'être comprise par des inconnus, alors qu'on ne peut parler à ses proches d'un sujet si délicat... alors que le compagnon reste insensible, ou absent.
Mérite il que tu lui offre à ce point le tien ?
Des bisous de courage...
Ah... Là est la question. Parfois, je me dis que non.
S'il préfère le virtuel, le mode solitaire, il ne me mérite pas. S'il ne veut pas qu'on se rapproche, il ne me mérite plus, ou ne veut plus.
Mais je l'aime. Donc je ne pense pas toujours en ces termes-là, même si parfois je me dis que trouverais bien des hommes qui réagiraient à mes appels, à mes photos, à mes messages, à mes caresses...
Merci pour ton message. :)
Un an plus tard, elle m’a plaqué. Mes rugosités avaient du finir par la lasser. Cette fois, c’est moi qui aie eu mal. Le contact de nos peaux avait fini par me communiquer sa tendresse. J’en ai même pleuré (hors de sa présence).
Quelles morales toutes personnelle aient-je tiré de cette histoire de jeunesse ?
Si l’on reste pour de mauvaises raisons, l’un des deux finit toujours par le regretter… quand il ne le fait pas payer à l’autre. Un sentiment amoureux évolue toujours, mais reboucle rarement sur lui-même. Et aussi : il y a d’autres histoires à vivre, le monde est vaste.