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© http://ombres-et-caresses.erog.fr | 2010-2012 |
¤ Liste complète des articles ¤
Tout a commencé en juillet 2010... L'ombre et les caresses se sont presque imposées. Venues naturellement, avec le désir de confier ces pensées légères, sensuelles, ces souvenirs, doutes ou questions.
Quant aux photos, les miennes sont "estampillées" des mots Ombres et Caresses.
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Mes Publications - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
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• Douceur émoi : pensées diverses... & moi.
• Instants désirs : en solo... Envies, rêves, fantasmes.
• Duo de caresses : en couple.
• Ombres libertines : voire plus...
• Bulles de liberté : heures légères et autres hommes.
• Frissons : photos, auto-portraits.
• En quelques mots : pensées, émotions, sur le vif.
• Souvenirs, petites choses : souvenirs, bonheurs.
• Murmures & plumes : récits et lectures.
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En Cascade...
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Desseins dessinés
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(x) Mettre le design du blog à jour.
(x) Trier les futures photos à mettre
ici.
( ) Ecrire de "vrais"
récits.
(x) Dormir tout contre lui.
( ) Faire des photos sur le
bondage.
( ) Faire des photos
au chocolat...
( ) Lire tous ces livres pour adultes. ;)
(x) Finir "Des désirs et des Hommes".
( ) Terminer l'article sur la
domination.
(x) Faire des photos ombres &
bougies.
(x) Tenter la cire... à deux.
( ) M'occuper de moi,
encore.
(x) Tester une séance de shiatsu.
(x) Faire l'amour !
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Un peu de moi... mes - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
J'aime... ma fille, les chats et leurs ronronnements, le chocolat, la sensualité, la lingerie, m'habiller en noir,
l'animalité, les fellations :p être attachée, les morsures amoureuses, la complicité, les caresses, les massages... la photo, la musique qui me fait pleurer, la musique dans ma bulle,
écouter jouer mon musicien, regarder un bon film... les bougies (pas que pour la cire) et les luminosités douces, la Bretagne, les Alpes, les cascades, les ruisseaux, la mer et l'Océan,
le bruit des vagues... les mains masculines, respirer au creux du cou d'un homme, dormir contre mon amant, embrasser sa peau... l'innocence des bébés, les sourires, les freesias, les
flocons de neige et le silence feutré qui va avec... le parfum de l'air après la pluie, l'odeur du café au lait et du pain grillé... les fraises.
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Sensations Plumes...
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"Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées."
Sigmund Freud.
"L'érotisme, c'est quand on le fait, le porno, c'est quand on le regarde."
Yvan Audouard.
"L'innocence est quelque chose de très érotique."
Armistead Maupin.
"Le chocolat est divin, moelleux, sensuel, profond. Noir, somptueux, gratifiant, puissant, dense, crémeux, séducteur, suggestif, riche, excessif, soyeux, doux,
luxueux, céleste..."
Elaine Sherman.
"La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel, et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte."
Kate Chopin.
Oui, sûrement un besoin de douceur, d'insousciance... c'est certain. :)
On va voir s'il y a moyen de passer commande... :D
(Ah, si je pouvais choisir mes rêves... je supprimerais définitivement mon ex-mari et mon père, par exemple. Ça m'éviterait quelques heures de colères et de tristesses.)
Je descendais les marches de l’escalier, pensif mais insouciant, pour me rendre au cours suivant, au rez-de-chaussée. Le bruit de la porte d’entrée qui venait de claquer me fit lever les yeux et là, au milieu d’un groupe de gamines portant l’uniforme d’un pensionnat, je La vis.
Elle avait levé les yeux au moment où les miens s’étaient posés sur Elle. Il m’était impossible de me détacher de cette apparition. Cette gamine me parut la plus belle que je n’aie jamais vue, avec ses longs cheveux auburn, tirés en arrière dans un savant chignon.
Mon souffle était court, je restais là sans bouger.
Fébrilement, je saisis la rampe de la main gauche et, de l’autre, dans un geste qui se voulait désinvolte et qui me parut maladroit, je rejetais mes cheveux en arrière. Je sentais mon cœur battre fortement dans ma poitrine.
Nos regards ne se quittaient toujours pas. Son visage était tendu vers moi et toute la douceur du monde semblait s’être échappée de ses yeux pour m’envelopper.
En cet instant, j’eus peur de perdre ce que je n’avais pas encore, de me tromper, de mal interpréter l’intérêt qu’elle me portait.
Je continuai mon approche, marche après marche, mes yeux rivés aux siens.
Arrivé devant Elle, sans me préoccuper de son entourage, - elle était, pour moi, seule au monde - j’osai passer le revers de mon index droit sur l’ovale de son visage. Puis, avec une voix que je ne me reconnus pas, tant elle était nimbée de douceur et de délicatesse, je lui demandai si elle était nouvelle. Elle balbutia plutôt qu’elle ne prononça « oui ». Ma main alors, pour la première fois, prit la sienne pour nous conduire vers un bonheur que plus rien ne pourrait égaler ou même approcher.
En un instant, le cours de nos vies venait de changer. Les deux enfants que nous étions, comme touchés par une grâce divine, venaient de se transformer en une entité d’amour, de confiance et de plénitude.
Pendant tout le cours, nos regards se croisèrent sans cesse, complices et tendres.
Quand il fut l’heure de partir, je m’approchai et lui dis, sur un ton faussement détaché, comme si cela était évident « Je t’attendais, petite sœur ». Enhardi par son regard direct, qui ne parût pas étonné mais consentant et troublé, d’une voix à la fois feutrée et vibrante d’une intense émotion, je laissai échapper, dans un souffle, « Sais-tu que je t’aime, toi ? »
Elle ne répondit pas, mais je sentis confusément que quelque chose d'inexplicable venait d'avoir lieu : elle était tombée sous mon emprise comme moi sous la sienne. J’aurais voulu lui crier que je l’aimais follement, passionnément, mais les mots ne venant pas, mon regard se chargea, pour moi, de lui transmettre ce message subliminal.
Je lus, dans ses yeux, la joie de l’acquiescement et je compris alors qu’elle partageait toutes ces émotions, avec la même intensité que moi.
Un sentiment de bonheur inconnu m’envahit si fort qu’il fit vibrer tout mon être.
Ces moments se sont imprimés au plus profond de nous et souvent, elle m’a confié s’y raccrocher, en relisant le petit calepin où Elle avait noté les instants décisifs de nos premières années.
Je venais d’avoir douze ans et Elle onze.
C'est là ma naissance à l'amour, à la vie...
Jeff
Une bien belle "histoire", pleine d'émotions. :)
Merci pour ce partage...
Le plaisir sexuel entre 2 êtres est, je pense, plus une question d'atomes crochus que de technique.
Les moralisateurs qui vous conseillent telle ou telle chose n'ont cas s'occuper de leur vie. Chacun est maitre de son destin et, si monsieur votre compagnon se trouve choqué à la lecture de vos mots, il n'a cas ouvrir les yeux sur le mal vivre qui mène votre couple à sa perte
"Le plaisir sexuel entre 2 êtres est, je pense, plus une question d'atomes crochus que de technique" : tout à fait d'accord avec cette phrase ! :) Même si avec le temps, avec l'âge, on ose plus... tout est encore question d'atomes crochus.