Douceur émoi

Jeudi 26 avril 4 26 /04 /Avr 02:10

 

Petit billet pour deux ou trois (voire quatre...) informations :

 

 

• Si ça peut vous être utile (je passe par cette adresse quand je vais sur mon blog via mon téléphone) j'ai rajouté dans la colonne de droite un lien vers le flux RSS du blog (c'est en tous cas ce qu'Erog me dit)...



• J'ai créé une page avec toutes les informations pour me suivre ici ou là, et pour pouvoir me contacter : c'est par ici. Lien que vous pouvez trouver dans le menu de haut de page, sous l'intitulé « Facebook etc », ainsi que dans la colonne de droite... et aussi en cliquant sur cette petite photo (ici, et toujours dans la colonne de droite du blog) :

 

liv biblio sosmall

 

Facebook, Hellocoton, Twitter... Pinterest et Babelio...mail, newsletter... flux RSS (à nouveau), flashcode (j'y reviens de suite après) et liste complète des articles... et dans un futur plus ou moins proche, comment joindre mon double. Oui, j'ai des tendances schizophrènes, mon « nom de plume » étant différent du pseudonyme que j'utilise ici.



• Prochainement, selon mon temps libre, vous trouverez une page du genre « qui suis-je ? »



• Et je reviens donc vers ce flash code, aussi appelé QR code (Quick Response Code).
Je vous invite à visiter le site http://www.code-qr.net qui explique bien le concept (j'ai compris du premier coup !) et qui vous montre même comment créer gratuitement votre QR Code, et comment le lire ensuite.

En résumé, c'est une sorte de code-barre qui permet d'accéder rapidement à mon blog, depuis votre téléphone portable. Pour cela, il faut avoir téléchargé sur son téléphone la petite appli nécessaire (il en existe plusieurs, à chercher sur le site donné ci-dessus, ou à télécharger directement depuis le "store" de votre téléphone). Vous prenez ensuite une sorte de "photo" du code, et le fait de le scanner vous envoie direct sur Ombres & Caresses (je l'ai mis aussi sur mon profil facebook).

Vous croisez ces codes de plus en plus souvent : factures, étiquettes de colis, magazines, blogs, pubs... CocaCola, et même au Macdo, pour avoir en direct des infos sur ce que vous êtes en train de manger. ;)

Vous pouvez également scanner certains codes barres, selon l'appli téléchargée. J'ai essayé, en librairie, pour certains livres. Ça m'a renvoyée sur Amazon, où j'ai eu des infos supplémentaires sur ce que j'étais susceptible d'acheter...


 

qr code1a

Vous pouvez retrouver aussi ce code dans la colonne de droite du blog...

(Et vous pouvez aussi me dire si ce code marche, pour vous.
Pour moi, oui, mais mon écran ne veut pas dire "tous les écrans"...)

 

 

 

qr code1

Autre version

 

 

 

 

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Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 1 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
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Mercredi 28 mars 3 28 /03 /Mars 13:55

 

Ça faisait longtemps que je m'étais promis de le faire ; j'ai d'ailleurs, dans ce but, précieusement gardé quelques captures d'écran.
En regardant les statistiques de mon blog, et plus précisément les recherches qui aboutissent sur Ombres & Caresses, je suis souvent amusée, parfois étonnée... voire légèrement dégoûtée. Perplexe, aussi...

        Voyez vous-même :

 

 

recherches2

 

Alors...

• cuisses cambrées : je ne sais pas... j'imagine quelque chose de douloureux.
2 : comment peut-on faire une telle recherche ?! Et surtout, atterrir chez moi...
you porn tendresse nocturne : j'aime ce contraste. ;)
rêverie en vidéo porno : c'est beau.
blog eille : ... ???
bander sous le fouet : tiens, je devrais tenter. Pas sûre que j'arrive à le faire bander...
• l'odeur du sperme de mon mari m'insupporte : bon, ben c'est pas ici qu'il y aura la solution, je le crains... Les seules fois où ça me dérange, c'est quand je dois trier les kleenex de monsieur, parce que la salle de bains fleure bon depuis deux jours, et que fifille me demande ce qui sent si fort... Pour le goût, il paraît que le jus d'ananas ou le thé au jasmin font fureur. Pour l'odeur ? Une pince à linge ? Des cours d'apnée ? Je sais ! Avaler, gloups, et voilà, pas d'odeur !
 deviance ma file ame se promener nue : une file n'a pas d'âme, voyons ! Bon, admettons que ça soit "ma fille aime"... quand bien même ! Associer ça à une déviance ? Ouah... Et la personne arrive sur un blog EROTIQUE ! C'est comique. Un conseil, je peux ? Lui en parler, en toute simplicité, mais sans l'accuser.
  

 

recherche auto

 

• auto enculade : euh... Euh ?!? (Je suis morte de rire, dès que j'essaie d'imaginer la scène.)

 

 

recherches1

 

• lit erotica non consentement : pardon ? Un lit non consentant ?
• il m'attache les cuisses pour me... : eh bien, nous ne saurons pas la suite. Dommage !
• veaus-mees : je n'ai pas vraiment cherché si ce blog existait. J'ai trop peur de ce que je vais y trouver. Puis Google m'a proposé : "vous-même". Hé ! Il m'insulte.

• sexualités déviantes attirance fluide nez : maiiiiis ! J'ai éclaté de rire en lisant ça, mais quelque part, ça m'inquiète, aussi (pas d'avoir ri, non).

• http://ombres-et-caresses.erog.fr : voilà le genre de recherche que je ne comprends absolument pas, tout comme ombres-et-caresses.erog.fr. Puisque la personne a l'adresse...

 


 

recherche libertine chocolat

 

• cherche libertines gourmandes de chocolat : ça, par contre, c'est une recherche que j'adore. Belle association de mots. Inspiratrice (ou inspirante)...

• photo d'une femme avec un fouet et bas en résille : Oui ? On m'appelle ? (Ça se passait ici.)

 

 

 

recherches lequipe

 

• mon amant veut m'attacher (...) pour... : et une fois de plus, nous ne saurons jamais la fin de l'histoire.

• lequipe.fr : le must de la recherche ! :D  Un site sportif, et la personne qui clique quand même sur mon blog ! Très fort. Il s'est dit que peut-être, sait-on jamais, L'Equipe s'était cachée sous un faux nom...

 

 

 

une statut


Un peu à part, pour conclure, ça, c'était sur faceb**k. Voyez-vous, je suis identifiée dans une statue. Euh, une statut, pardon.
Ou alors, UN statut ? (Cliquez pour agrandir...) 

 

 

 

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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 21:33

 

banniere logo1  

Une fois n'est pas coutume, voici un petit billet bon pour l'ego... enfin, pour le mien.

 

 

Pourquoi ce blog est-il né ? Pour écrire ; apprendre à mieux écrire. Pour (m')analyser, (me) comprendre, (m')accepter (quelle égoïste je fais !). Pour donner une autre dimension à mes photos, avoir des avis sur ce que je fais. Pour PARTAGER. Dialoguer, avoir un retour... Au final, il y a quand même peu de lecteurs qui prennent la peine de laisser un message.

 

J'ai en moyenne 75 visiteurs différents par jour. Je ne sais pas si c'est peu ou beaucoup ; je ne cherche pas à faire du chiffre. Personnellement, pour un "petit" blog perso que je n'alimente pas quotidiennement, je trouve que ce n'est pas si mal. Ceci dit, combien laissent un commentaire ? Quasiment personne, mis à part les quelques fidèles (merci à vous). :)

Certains restent dans l'ombre, me laissant donc à penser qu'un blog se considère sous un angle "voyeur" uniquement. D'autres m'envoient des messages via Facebook, plutôt. Cherchent-ils juste à établir un lien plus "personnel" ? Ce n'est pas forcément ce que moi, je recherche d'emblée, en fait. D'accord avec le fait que des affinités peuvent se créer, mais au fil du temps et des échanges ici... C'est en tous cas le cheminement qui me paraîtrait normal.

 

Malgré ces lecteurs peu bavards, je remarque quand même que ma "bulle" semble appréciée.  Parfois, je réalise qu'on a conseillé mon blog en lecture, ici ou là... Et les "passants" reviennent.

 

* * *


Début février, j'ai été contactée par l'administratrice du site Histoires Libertines. Je figure donc désormais dans la liste des "blogs libertins à découvrir". Histoires Libertines me semble un site prometteur, j'y ai vu des liens ou auteurs intéressants. Les interviews ont attiré mon attention ; j'aime apprendre sur ce qui est "autour" des histoires. Il est agréable, aussi, d'avoir accès à quelques extraits de romans, le tout dans un design plaisant.
             Pour me "présenter", j'ai repris des extraits de mes tout premiers articles ici.

Si vous voulez bien d'ailleurs, d'un simple clic, "voter" pour moi, ça serait gentil. Ce n'est pas un concours, rien à gagner, pas de classement, mais qui sait, un blog qui sort du "lot" incitera peut-être quelques nouvelles visites.


histoires libertines

 

~ ° ~

 

En début d'année, j'ai également découvert grâce aux statistiques d'OverBlog, que des personnes arrivaient du site Love Boudoir, régulièrement. Je fais partie des blogs "à lire absolument". (ab-so-lu-ment, c'est compris ?) ;)
Love Boudoir est une "revue des meilleurs blogs érotiques sur le Net. Des histoires parfois vécues, parfois imaginées, mais toujours délicieuses". J'aime l'ambiance, les blogs proposés ou mis en avant, et j'aime ces diverses promenades et découvertes.
 

love boudoir

 

 

 

À votre tour d'aller faire les curieux et de vous balader un moment...
Quant à moi, je suis contente d'être référencée sur des sites érotiques et axés sur le "sensuel". Rien de vulgaire, de porno ; du littéraire et de l'artistique. Je me dis que mon initiative a été comprise. Je n'en demande pas plus ! :)

 

 

 

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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 02:00

 

nuagesIl n'y a qu'ici que je peux exprimer ces émotions. Alors, d'entrée, je vous préviens : je refuse les phrases bateau, les jugements, les incompréhensions, les conseils tout faits. J'ai ma dose au quotidien.
Je préfère encore les silences. Si vous ne comprenez pas (ce que je conçois),  passez juste votre chemin, et allez chercher quelques rayons de soleil plus loin...


Je ne dis pas ça méchamment, mais je ne veux vraiment pas des "arrête de t'apitoyer" ; laissez-moi me lamenter. Parce que les maux sont lourds à porter. On aimerait les oublier, on ne décide PAS. On n'y arrive pas. Et tout garder pour soi est mauvais, nous grignote.

Je crois qu'il n'y a que celles qui ont vécu "ça", qui peuvent comprendre.


* * *


Il y a deux ans, ma grossesse s'arrêtait. Oh, juste trois mois avec un foetus en moi. C'est rien. Voir son ventre commencer à s'arrondir. Avoir les manifestations d'une vie qu'on porte. Faire des projets (même si... il ne faut pas. Mais on veut y croire, sinon, à quoi bon ?). Être heureuse.

Finir à la clinique. Anesthésie générale, et tout est fini. Les larmes quotidiennes, le corps qu'on déteste, les questions. Le couple qui se défait. Les incompréhensions. Le traumatisme. À vie, je crois. L'homme oublie vite : on recommence, c'est simple, on passe au "suivant". Mais merde, on ne parle pas d'une poire blette ! Il ne suffit pas d'en choisir une autre. On parle d'un bout de bébé qu'on a vu sur un écran. On parle des symptômes post grossesse, des douleurs physiques et morales, du retour de couches... alors qu'il n'y a pas de bébé. C'est fi-ni. Juste fini. Plus rien. Rien que le vide.

Le vide, et un homme absent. Le vide, et l'incompréhension générale. Le vide, et le malaise de l'entourage. Et ceux qui font comme s'il ne s'était rien passé. Les futurs grands-parents paternels...pas UN mot de réconfort. Pas un. Tous ces gens qui renient ma douleur, au fond. Ils ne veulent pas la légitimer. Normal, ils ne sont pas touchés.

Quand c'est notre homme, qui adopte cette réaction, ça fait encore plus mal. Je manquais de dignité , selon lui ; et lui ? D'humanité, tout simplement... Alors, je me suis cachée pendant des mois, pour pleurer. Ses mots m'ont fait si mal. Ses propos complètement déplacés. 

 

* * *


Et puis, il y a cette date, qui reste gravée. Je n'y peux rien. C'est comme ça. J'ai une mémoire. Je sais, que c'était ce jour-là. Je sais, parce que c'est  aussi notre anniversaire de rencontre. Belle ironie, non ?

Alors, vous allez me dire, pourquoi ne pas positiver ? Ça paraît si simple.
Parce que monsieur ne fête plus la saint Valentin, c'est commercial (il n'a qu'à rendre ce jour autre, juste une attention sans valeur marchande, pour me dire qu'il me voit encore, qu'il m'aime toujours malgré le quotidien...), et il ne fête pas non plus les anniversaires de rencontre.
Enfin, si, la première année. C'était touchant, c'était beau. Nous avions fait l'amour. Peau à peau, corps à coeur. Je pourrais bien dire que je suis jalouse (voir un billet précédent...) je sais ses attentions envers une ex compagne, par le passé. Je ne dois plus en valoir la peine.

L'an dernier, rien. Je lui avais quand même fait un petit cadeau. Bien sûr, il avait oublié, mais a semblé touché. Bien sûr, il avait oublié la fausse couche, aussi. Et ma mammographie. Et mes craintes. Et mes doutes. Et oublié de me soutenir, me réconforter.

Cette année ? J'ai fini par lui dire, à onze heures du soir : "tiens, aujourd'hui, il n'a pas fait beau. C'est la première fois depuis quelques années. D'habitude, il fait beau, ce jour-là de l'année. Pour nous. C'était notre anniversaire, aujourd'hui. Bon anniversaire."
Qu'a-t'il répondu ? Strictement rien. Donc, je lui ai signalé que c'est à lui que je m'adressais. Puis voilà. Nous ne fêterons plus cet anniversaire. J'ai vécu en couple plusieurs fois, on a toujours fait quelque chose. Même anodin. Même un petit repas. Bref, marquer le coup, trouver un prétexte à se retrouver, se câliner.

Je suis triste. Ça va passer. Ça s'estompe doucement, avec le temps. Mais quelque chose a changé en moi, et ça, ça restera. On ne peut pas forcer les gens à oublier, à ne plus avoir mal.
Puis cette année, pas d'examens médicaux. J'ai encore six mois devant moi avant de repasser par la case clinique. Le luxe.

 

* * *

 

 J'y pense, à cette foutue date. Et je dois me taire. Mes amis, mes proches, ma famille, tous ont eu des réactions plus blessantes qu'autre chose. "Mais pourquoi tu te souviens de cette date ?!" ou encore "Quoi ? T'as gardé ton test positif ?" (Oui, je l'avais mis, en début de grossesse, dans un tiroir. Je l'ai retrouvé un an après, en effet, sans chercher. Je ne m'étais pas précipitée pour le jeter à mon retour de clinique). Je vous passe les "ça valait mieux comme ça, c'était trop tôt pour votre couple",  les "c'était pas raisonnable", les "tu n'aurais jamais pu tout gérer" et même les "avec la grippe A qui trainait, c'était pas sérieux"...
Tout ça me rend triste, juste.

J'y pense encore, et parfois, je me dis que s'il avait été là, ce petit, il marcherait, maintenant... des détails, comme ça. Quand je vois un enfant né en début d'été 2010, aussi...
Pendant trois mois, il a existé, pour moi.


Un conseil : évitez de sortir des arguments logiques et raisonnables. Ce n'est pas la raison qui parle, mais la douleur, donc ça ne consolera pas. Dites tout simplement que vous comprenez, que ça fait mal. Demandez comment ça va. N'ignorez pas ; ça ne fait pas oublier. Ça donne juste l'impression que tout le monde s'en fout. Ce qui est peut-être le cas, c'est vrai...



 

Photo du début d'article prise de ma fenêtre, pour cet anniversaire. Première année avec un ciel si gris.
Même pour ma fausse-couche, nous avions eu un mélange arc-en-ciel, pluie et soleil...



 

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Dimanche 13 novembre 7 13 /11 /Nov 01:02

 

Ce soir, juste une vidéo que je viens de découvrir, et trois photos que j'ai extraites ensuite, des instants que je préfère. Comme quoi, l'érotisme tient aussi à la suggestion...

Je trouve la musique très douce, belle et un brin mélancolique. J'aime les images, les cordes, le collier... c'est fascinant. Les noeuds sont magnifiques. L'évocation marine bien trouvée... Et cette bague, où peut s'accrocher une laisse, extrêmement troublante.
J'ai eu des frissons, la chair de poule, carrément, pour le passage aquatique... et on retrouve l'anneau au doigt. C'est sensuel au possible, à la fois émouvant et captivant.



claire1   claire   claire2

 


Voir glisser les cordes au ralenti... me rappelle de doux souvenirs, emplis de désirs, de silence troublé. Cette impression que tout va moins vite... et la caresse des cordes qui passent et repassent... Je veux revivre ça.



Par contre, je ne sais pas à quoi servent ces crochets. Si l'un d'entre vous (shibariste ?) sait, qu'il n'hésite pas à me faire découvrir cet objet.

 

 

 

Claire Tchaikowski & Betony Vernon in Those Thousand Seas from Claire Tchaikowski on Vimeo.

 

 

 

Je vous recommande d'agrandir la vidéo, pour la visionner (si vous ne la voyez pas et naviguez avec Firefox, il faut désactiver Adblock Plus pour ce blog et pour Vimeo. Sinon, elle est aussi ici).
Et je vous invite également à aller lire deux billets sur le blog de Chut ! auxquels j'ai bien sûr immédiatement pensés :

 

- Bondage sous-marin #1
- Bondage sous-marin #2

 

Et si ça vous dit... une autre forme d'art : la peinture sensuelle et colorée, avec la vidéo
« Undone ». Même chanteuse, même état d'esprit. Très évocateur et sexy...



 

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Mardi 8 novembre 2 08 /11 /Nov 01:57

 

Silencieuse, mais pas tout à fait inactive...
Une fois n'est pas coutume, je vais faire un billet futile. ;)

Par le passé, j'avais déjà tenté d'apprivoiser Hellocoton, sans succès. Et j'avais peur de choquer, avec mon blog "pour les grands", au milieu de ces "blogs de filles" qui partagent leurs "trucs de filles" (vous remarquerez que les termes "abonnéE", ou "amiE" prennent un "e" sur ce site, donc si vous êtes un homme inscrit - il y en a - ne vous formalisez pas pour ça !) vu que j'ai l'impression de ne pas faire dans la légèreté, moi. :(
 

J'ai fini par trouver une rubrique "sexo" dans la partie "couple"... un peu cachée, peu visitée, mais espérons qu'elle va s'animer.

Je suis donc arrivée à m'inscrire.

J'ai ensuite rencontré des difficultés pour voir apparaître mes articles sur ma page. Pourquoi cela ne marchait-il pas, quand je collais un lien ? Recherche sur internet : il me fallait le flux rss de mon blog, à intégrer dans mes paramètres. Mais où trouver cette fichue adresse ? J'ai fureté partout, j'ai fait (encore) des recherches sur Goole, même. J'ai fini par passer par la petite barre en haut de mon blog, dans "j'aime ce blog", puis "s'abonner au flux rss" : l'adresse est apparue dans la barre du bas de mon navigateur (ça peut intéresser d'autres blogueurs perdus - ou blonds).

 

* * *

 

Tout ça pour dire : si vous voulez me suivre via Hellocoton, vous pouvez maintenant le faire. Vous trouverez de quoi cliquer dans la colonne de droite. De jolies petites choses qui ressemblent à ça :

 

Suivez-moi sur Hellocoton

 

Et à ça : 

Suivez-moi sur Hellocoton

 

 

Si j'ai le courage, je copie-collerai le bouton "j'aime cet article" à la fin des articles... mais je doute qu'il soit beaucoup cliqué. J'aurais préféré pouvoir l'intégrer directement à côté des autres boutons de partage, mais je n'y suis pas parvenue. 


 

Je rajoute mon "mini profil" :


 
              Retrouvez Ombres-et-Caresses sur Hellocoton

 

 

Je vais tenter de le mettre dans la colonne de droite. Il vous permettra de découvrir d'autres blogs (non érotiques, pour la plupart, mais il y en a des sympas), de vous abonner, de découvrir ce que j'ai pu lire...

 

Et si vous le souhaitez, n'hésitez pas à vous manifester via Hellocoton,
afin de me faire découvrir vos blogs.

 


 

Juste un dernier point : vous pouvez toujours vous inscrire à la newsletter (colonne de droite, encore) ou à Facebook (http://facebook.com/ombres.et.caresses), pour ne rater aucun article. ;)  Aujourd'hui, j'ai accepté mon centième contact ! Je me dois de fêter ça...   

 

 

 

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Samedi 10 septembre 6 10 /09 /Sep 04:19

 

snow-nude
« J'aimerais faire un break. »

 

Sommes-nous tous et toutes, un jour, confrontés à cette petite phrase, qui ne laisse guère de choix dans la réponse ? Un peu comme une étape nécessaire à la vie, un rituel pour mûrir ?

Je n'y ai eu droit qu'une fois. Tardivement, en plus, dans ma vie amoureuse. Il n'était pas besoin des mots, au fond, étant donné que ce jeune compagnon avait par lâcheté, adopté le silence des jours durant, sans me donner de nouvelles, pour "me dire". Paradoxal, comme procédé. 

 

 

Et étrangement, ça m'a fait sourire. Ça a réveillé une pointe d'ironie, de dérision face à ce "cliché". Quelle nécessité de jouer une telle scène ? Oui, ça m'a amusée, malgré la situation et l'ambiance colérique. Je n'ai rien répondu ; tel était son désir, après tout... le mutisme.   

 

Je trouve cette petite phrase lâche. Ne pas oser prononcer les vrais mots, se laisser le droit à "reprendre" (et rejeter), voire se donner l'occasion de découvrir si l'herbe est plus verte ailleurs, pour dire la vérité. (Se) jouer de l'autre, le laisser dans l'attente, le tester, étudier ses réactions, peut-être provoquer pour jouer à "suis-moi, je te fuis"... 

 

C'est une façon de s'envoler, de partir, peut-être plus douce, je ne sais pas... plus facile pour celui qui prend l'initiative, vaguement moins cruelle à ses yeux (mais l'espoir entretenu n'est-il pas finalement plus inhumain qu'une rupture sincère et franche ?)

 

Un break mène-t-il à de belles retrouvailles, parfois ? Moi, je n'y crois pas. À partir du moment où c'est "cassé", comme il est si justement dit, il est difficile de recoller les morceaux. On en a perdu en route. Il restera des fissures, parfois invisibles à l'oeil nu, mais...
Je n'ai jamais cru aux arguments "j'ai réalisé que", "tu me manques trop, reviens, je t'aime", etc. Plus rien ne sera comme avant. Tout a changé : les émotions, les caractères, les craintes, la confiance effacée.

 

* * *

 

Je ressens maintenant comme une sorte de tendresse, mêlée à de l'amusement, face à quelques phrases, clichés du couple qui se défait.

« Il faut qu'on parle. »
La phrase qui veut tout dire. À traduire plus précisément par « il faut que JE parle ». Attention, je précise : le dialogue (vrai) est la clé de tout, mais c'est la formulation qui prête à sourire. Et bien souvent, au final, il ne s'agit pas d'échange, mais de monologue-qui-fait-mal...

« On reste amis ? »
Un être masculin adorablement délicieux m'a dit ça, un jour. Juste après qu'on ait fait l'amour sur son canapé, fougueux et je croyais, nouvellement amoureux. Impliquant donc qu'on passait au stade "juste amis". Etais-je donc un si mauvais coup ? Ou au contraire, a-t-il voulu en profiter une dernière fois, incapable de résister ?

« J'ai besoin d'être seul, de me retrouver. »
Un autre être masculin, délicieusement adorable quant à lui, a pensé apparemment qu'il était plus facile pour sa tranquilité délicat de ne pas avouer qu'en fait, il avait rencontré quelqu'un. Malheureusement, je l'ai sû, très vite.

J'ai étrangement toujours eu beaucoup plus de respect et d'estime pour celui qui m'a dit « je suis désolé, je ne tombe pas amoureux de toi ». Ça a fait un mal de chien, mais on n'y pouvait rien...


 

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Communauté : les blogs persos
Mercredi 6 juillet 3 06 /07 /Juil 23:55

 

Déjà, une année s'est écoulée...                                        

 

Le 6 juillet 2010, naissaient mes ombres et mes caresses. Je ne savais pas trop où j'allais, mais je souhaitais une bulle de douceur, de sensualité, où dévoiler mes plaisirs et mes désirs, de ceux qu'on ne dit à personne ou presque.

 

Je crois avoir un peu amélioré mon écriture... même si le résultat n'est pas visible dans mes billets, il est certain que la démarche m'est plus facile, maintenant.
Je suis arrivée à (me) comprendre, en confiant mes doutes, mes questions, à savoir ce que je voulais... ou pas. Introspection bénéfique. 

 

 

 

une annee2

L'image pourrait tromper, mais il s'agit bien de ma main...

 

 

 

Ce qui est sûr, c'est que je ne comptais absolument pas mettre de photos !
J'ai donc naturellement évolué au fil des mois et des prises de vues, dans ma propre appréhension de mon "enveloppe physique" ; approche très personnelle, et presque égoïste. Je n'ai pas fait ces images pour me montrer, mais pour me regarder "mieux" (au lieu de m'éviter) en m'attardant sur certains détails féminins.
J'ai appris à mettre en valeur ce qui fait "moi", même si ça n'aide pas forcément mon couple...

 

Et de manière plus générale, j'ai progressé en photo. Je me suis donné quelques petits défis, j'ai voulu tenter certaines choses, j'ai cherché l'originalité. Je voulais m'essayer à certains thèmes : l'eau et ses gouttes, les bougies, les ombres, les accessoires... et travailler ma façon de photographier "un corps féminin" (pas "moi", narcissiquement). Avancer aussi dans ce domaine-là est enrichissant. Toucher un peu à l'esthétisme...

 

Il me reste encore quelques clichés à vous montrer... Bientôt.  

 

 

 

une annee1


 

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Communauté : Photos érotiques
Dimanche 22 mai 7 22 /05 /Mai 01:47

 

alexkrivtsovOn fait quoi, d'un homme qui se fout ouvertement
de notre gueule ? ... On lui demande comment elle
s'appelle, "ses collègues" ? ...


Petit message un soir sur Twitter, sous le coup des émotions. Enième absence de l'homme, énième message deux heures plus tard pour me dire qu'il ne rentre pas encore (j'avais deviné), énième sms flou, énième retour retardé, toujours un peu plus.

Ce soir-là, je préparais le repas, tout en faisant faire les devoirs à ma fille, sans oublier cet évier bouché ; démonter toute la tuyauterie, à cause des négligences accumulées par un homme un peu trop célibataire.
Ou bien, était-ce le soir où j'avais préparé un bon repas et j'attendais mon compagnon, en vain, sans nouvelles ? Ce n'était pas le soir où il n'a pas appelé (il avait "oublié" son portable) et est rentré à 20h30 après un début de soirée arrosé avec je ne sais qui...

Surtout ne rien dire, au risque de se faire traiter de jalouse. On ne peut pas lutter contre un tel argument méprisant, qui ne cherche pas à comprendre mais vise à culpabiliser pour avoir la paix. Mettre habilement l'autre en faute, c'est ce qu'il y a de mieux pour éviter de réfléchir à son comportement, et au pourquoi des émotions de "l'autre".

Je me suis habituée. Pourtant, certains soirs, ça me peine toujours, ou me met en colère.


Sûrement n'était-il pas avec une femme ; sûrement me fait-il porter le poids de ce sacrifice, d'ailleurs. Mon imagination qui s'emballe ? Non, il m'a clairement dit que ça arriverait. Je savais à quoi m'attendre, j'ai accepté. Je lui ai demandé de me dire, si un jour ça "arrivait", pour éviter de me "demander si... " et "que faire d'un homme qui..." , mais je sais qu'il n'en aura pas le courage. Alors, parfois, je doute. De moi plus que de lui, au fond, je crois. Quand il ne me touche plus, ne me dit plus "je t'aime", quand nous faisons l'amour une fois par mois, je me demande ce qu'il lui arrive, à mon soi-disant obsédé sexuel.

 
* * *

Que faire, d'un homme qui... ?
 

D'abord, on se jure de tout faire pour protéger sa confiance en soi que le chagrin menace de pulvériser...
... même s'il est difficile de se dire qu'on n'y est pour rien. Même si cette hypothétique "autre" a quelque chose que je n'aurai plus jamais : l'inconnu, la nouveauté. Même si l'homme n'a plus envie de rentrer le soir, passer du temps en ma compagnie. Même s'il trouve plus rassurant de séduire une inconnue, plutôt que reconnaître les qualités de celle qui veut vivre avec lui.

On se promet de ne jamais renoncer au désir. On commence à se demander s'il est possible de vivre avec un homme sans la magie du désir...
Il y a pourtant des jours où j'abandonne. Tout s'éteint, je n'ai plus envie. Mon corps ne veut plus qu'on lui fasse du bien. Faut-il être bien dans sa tête pour être bien dans son corps, ou l'inverse ? Désirer pour se sentir désirable, ou être désirée pour désirer à son tour ? Cercle vertueux ?

Dans le silence de la nuit... on offre l'envie de pleurer qui ronge le coeur
.
La nuit est mon refuge, mon nid, l'obscurité recueille mes tristesses, mes larmes, mes doutes. Il le faut.

L'absence d'envie de se caresser qui angoisse le ventre
...
Je ne ressens plus. J'ai juste mal au coeur. Ma peau est endormie. Le vide grandit, il prend paradoxalement toute la place. Je veux du vrai, un homme, un corps vivant, et chaud ; un partage. Pas ces sensations éphémères qui soulignent au final l'absence. Cette fameuse absence. Absence d'un Lui, absence d'envie.

La colère de comprendre ce qui se ment ; l
a rage de se sentir méprisée ...
Cette impression qu'il joue de mon amour, de ma confiance, de mon intelligence, de ma patience, est juste révoltante. De l'irrespect, même si cette attitude est conséquence de ses craintes.

Et tout ce qui submerge l'esprit, à ne plus savoir que faire d'un homme qui...
... à se demander si un jour, on trouvera un peu de sérénité.


 
En cas de mal-être insupportable, reprendre la plume. Ne jamais se taire de douleur.

Si difficile. Si dur parfois, de mettre les mots, de tout poser à plat pour entrevoir une
réponse, quelle qu'elle soit. Si compliqué de se détacher de ce qui nous fait mal, pour
accepter. Il faudrait que ma plume voyage vers des mondes fantasmés, plus légers,
pour un temps... changer ses idées, et toujours échanger.

Je me suis raccrochée à ces mots, ils sont restés, blottis au fond de moi, et doucement,
le silence est parti. L'envie d'écrire est revenue. Il y a ce lien, invisible.


* * *


bijou1
Quant à l'homme... admettons que ça ne soit pas pour une femme. Et quand bien même...

Je voudrais savoir ce qui l'éloigne de moi, de son foyer. Il n'a pas envie de rentrer, me retrouver... Il a envie d'ailleurs.

Il est absent.

 

 

Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 9 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
Communauté : les blogs persos
Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 03:33

 

upside downCertains  jours, les phrases enfantines et toutes innocentes donnent naissance à des regards complices entre adultes et à quelques fou-rires mémorables. Vu l'âge, il n'y a pas de doutes, ces mots sont prononcés sans arrière-pensée. Nous, grandes personnes, sommes des êtres absolument pervertis...

 

 

Cet après-midi, ma fille joue avec le chat : « Oui, vas-y, donne-moi des coups de queue ! »
Ne pas pouffer de rire. Respirer. J'ai eu beau tenter d'orienter vers un « non, c'est un chat, des coups de patte, c'est mieux » en gardant un air naturel, rien à faire.

 



Il y a quelques jours, suite à une plaisanterie que j'avais faite, elle pose sa main sur mon front, l'enlève, garde le silence deux secondes, puis : « Oh, oui, t'es chaude ! »
Elle voulait bien sûr parler d'une prétendue fièvre qui me ferait délirer, n'allez pas imaginer autre chose. Moi, je n'ai absolument pas pu garder mon sérieux, vu son intonation. L'homme derrière moi, non plus.

 

 

Un peu à part : l'an dernier, pour la première fois de ma vie de mère, je sors de la salle de bains pour aller chercher un vêtement à la chambre... en string. Et bien sûr, ma progéniture se trouve accidentellement sur mon chemin. J'ai eu droit à un beau « Mamaaaaaaan t'as mis ta culotte à l'envers ! » quand elle a vu mon postérieur dépourvu d'étoffe.  Je n'ai plus jamais pris le risque qu'elle me croise dans cette tenue. Jamais. Je préfère encore m'enrouler dans une serviette pour lui éviter de penser que sa mère ne sait pas s'habiller. ;)

 

 

L'été dernier, alors que nous goûtions ces glaces Magnum Temptation Chocolate (tout un programme, n'est-ce pas ?) et mangions en silence, absorbés, elle nous a déclaré : « c'est  *******  qui a la plus grosse ! »
Arrêt sur image. Expression d'étonnement extrême. Risque d'étouffement avec les petits morceaux de brownie / chocolat noir /  éclats de chocolat blanc / sauce chocolat. Elle parlait bien sûr de la glace de mon homme.


Tant que nous y sommes, voici l'animal (non, pas celui de l'homme ! L'autre ! Mais voyons... J'ai bien une photo, qui me plait, mais sans l'autorisation écrite de l'être viril, je ne peux pas... désolée. Pourtant, j'aimerais, faire des photos de lui, de nous... de belles photos) :


 

 temptation          temptation box

 

 

C'est quand même clairement sexuellement orienté, non ?
Avec sa belle boîte, son nom, sa forme...
Ça me fait penser à un sex-toy.

 


Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 8 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
Communauté : les blogs persos
Lundi 18 avril 1 18 /04 /Avr 09:05

 

Un billet express pour sourire un peu. Un brin de futilité, j'en suis consciente...
pour me changer les idées. Un autre article a du mal à venir au monde.

 

  *


Regarder les statistiques de mon blog m'a souvent amusée. Par exemple, ma série photos du printemps m'a amené beaucoup de visiteurs, qui ne sont pas pour autant sortis de l'ombre avec un petit commentaire, revenus par la suite, ou devenus fidèles.
Depuis juillet 2010, date de création de ce lieu, 24.500 pages ont été vues, dont 4.900 au mois de mars (mois record) ! Ce qui laisse en moyenne pour les autres mois, 2.450 pages par tranches de 30 jours : la moitié (j'ai arrondi les chiffres à moins d'une dizaine). La journée record depuis le début d'Ombres & Caresses ? Le 19 mars dernier. 

 

Ceci dit, je préfère la qualité à la quantité. Faire du chiffre (et ce, dans divers domaines) ne m'intéresse pas...

 

 

Passons aux dernières recherches :

 

lapsus

 

 

Beaucoup de personnes se rappellent de "moi" par l'association de l'ombre et des caresses, ce qui me laisse supposer que j'ai peut-être bien choisi le nom, sur un coup de tête qui me correspondait.

Et la recherche "ombre te caresse" ? Un lapsus ? Sûrement juste une faute de frappe, mais une qui m'a séduite.



Quant au reste...

 

O&C Art or Porn... Alors, suis-je artistique ou pornographique ? ;) Non, je crois avoir deviné d'où peut venir cette recherche, et il s'agit d'un site ajouté en lien dans la colonne de droite du blog.

Orgasme crémeux en solo : ah... féminin ou masculin ?

Caresses et tire-langue ?! Quel est cet accessoire étrange ?

Celui venu chercher des photos de couples masqués à Venise (ertotic) a dû être déçu. (mais il a quand même cliqué !)

Sans parler de "broderie Venise blog" ! J'imagine le choc d'une petite mamie se voulant moderne, et allant sur internet à la recherche de modèles de point de croix pour occuper ses prochaines soirées au coin du feu.

Ça y est, les urophiles avec couches arrivent. J'ai vu quelques photos de jeunes femmes, ou d'hommes, en couche, et... non, je ne pourrai jamais. Ça me rappelle trop mon après-accouchement, avec ces culottes jetables en filet mochissimes, et ces paquets cauchemardesques de coton fournis par la maternité, en guise de serviette hygiénique pour géante. Ça me rappelle aussi douloureusement ma fausse couche. Conclusion : la couche, un fantasme qui ne passera pas par moi.

Concernant "perte anale", je suis restée... perplexe. J'ai même regardé les pages de résultats de Goût-Gueule, pour "me" trouver, et j'ai fini par renoncer, perdue au milieu de tous ces liens plus  immondes les uns que les autres. ;)

 

 

Par contre, je suis très déçue, j'aurais dû faire une capture d'écran avant. "Ma femme m'attache à la maison c'est une vraie salope" et "manger détritus pratique sexuelle" ont disparu de ma liste. (Ce n'est peut-être pas plus mal, ceci dit ?)



En conclusion, je dirais qu'Erog attire moins de monde que Canalblog, chez qui j'ai un autre blog (sage) et où les recherches sont nettement orientées vers le sexe sous toutes ses formes (alors que je ne suis pas du tout dans une catégorie "adultes"). Ceci dit, je trouve très appréciable qu'Erog n'ait pas de publicités imposées ; les vidéos pornos et les pop-ups qui ponctuent les blogs C.Blog en deviennent dérangeantes, parfois...   

 

 

Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 3 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
Communauté : les blogs persos
Dimanche 17 avril 7 17 /04 /Avr 04:23

 

portraitfsQuelques phrases cette nuit... je suis encore là, malgré les silences.
J'ai tenté la légèreté, pour oublier les tristesses ; je n'ai même plus l'envie de ça. Je n'arrive plus à écrire. Période sans mots, pour faire le point, pour retrouver le désir.

 

Dans l'ombre, je suis toujours là. Sous les caresses imaginées des nuits solitaires, je n'ai pas encore renoncé.
Dans l'ombre et sous les caresses, j'ai étoffé la colonne de droite de ce blog. Quelques photos, quelques détails sur ce que je suis. Qui suis-je, cachée derrière mon objectif, dévoilée par mes écrits ? Vous (re)trouverez donc :

 

• Quelques photos, rajoutées ;
• Deux paragraphes, en forme de « j'aime » et « je n'aime pas » ;
• Mon Twitter, pour quelques pensées confiées en 140 lettres maximum ;
• Quelques pages, pour "créer des liens" ;
• La newsletter : n'hésitez pas à vous inscrire ;
• Mon Facebook, pour vous tenir informés des dernières parutions d'articles ;
• Une présentation du blog, de l'auteur, etc ;
• Un index de mes billets, pour vous promener d'une autre manière...

 

* * *

 

Et je vous laisse avec une très émouvante et frissonnante chanson. Un piano, deux belles voix qui se marient parfaitement dans la douceur, un mélange touchant de mélancolie et d'apaisement. Des paroles qui disent tellement mieux que moi...

 

               Le visage plongé à Terre - Clore un instant ses paupières - Pour chercher
               ce qui nous éclaire - Le temps d’entendre - Juste un peu de silence...



*

 

Tout ce vacarme
Taché de larmes
Jusqu’au bout désarme

Tout n’est pas dit
À peine décrit
Tiré de l’oubli

Le temps de dire
Le temps de taire
Le temps de faire juste reconnaissance
Le temps d’entendre
Juste un peu de silence

Rien d’important
Que l’essentiel
Une mesure absente

Un rien laissé
À la portée
D’une vie impuissante

Le temps d’écrire
Le temps d’entendre
Le temps de faire juste reconnaissance
Le temps d’entendre
Juste un peu de silence

Le visage plongé à Terre
Le visage plongé à Terre
Clore un instant ses paupières
Pour chercher ce qui nous éclaire

Pendant ce temps
Le temps s’enterre
Le temps de faire juste reconnaissance
Le temps d’entendre
Juste un peu de...
Juste un peu de silence.

 

 

 

~

 

Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 6 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
Communauté : les blogs persos
Lundi 4 avril 1 04 /04 /Avr 02:22

 

douche5Je sais, c'est un étrange titre.
Je sais, ce n'est pas érotique, dans ce contexte (enfin, moi, je ne trouve pas).
Je sais, c'est dérangeant. Pour le glamour, on repassera...
Je sais aussi, je vais attirer tous les déviants de la blogosphère.  ;)  (Non, quand même pas, et puis, s'ils veulent me donner leur point de vue, je prends, après tout...)
Positivons, c'est une façon d'aborder le sujet, après tout, même si elle est spéciale, je vous le concède ! ;)

 

                   Mais ça fait un moment que ça me... turlupine. J'aurais besoin de vos réponses, messieurs. Mesdames aussi, si vous êtes sûres des habitudes viriles de votre / vos compagnons (ou si vous pratiquez ? Et que votre homme nettoie, avec les effluves dans le nez). Vous n'êtes bien sûr pas obligés de commenter (ou juste le seconde partie ?), si ça vous met mal à l'aise. Ceci dit, un complément d'information pourrait me permettre d'accepter (ou pas), et de déterminer à quel point je suis coincée, comme fille. J'ai besoin de savoir si je suis totalement naïve, ou bien psycho-rigide (comme on me l'a déjà dit)... ;)

 

Je m'assois sur le divan, et je commence ma thérapie. Accrochez-vous.

 

 

Jusqu'à 3 réponses possibles



J'ai habité avec quelques hommes (non, pas tous en même temps ! voyons). Tablons sur six "partenaires", pour une cohabitation allant de sept mois à sept ans. Et jusqu'aux deux derniers, aucune constatation de douche dorée (au sens propre du terme, un peu) !

 

Actuellement, j'ai droit à « c'est stérile, c'est propre » (stérile, ça ne l'est plus dès que "ça" voit le monde extérieur, ceci dit, vu le nombre de bactéries qui se promènent).
L'odeur que je sens en entrant dans la salle de bains, remplaçant les parfums de gel douche, de propre ? Il ne la sent pas. Les joies des fumeurs, je suppose. Le fait que la baignoire se bouche, donc il se "lave" dans 5 cms d'eau jaunie ? Ça n'a l'air de déranger que moi, comme concept. Réaction typiquement chieuse féminine ?

Je me tais, et je fais le ménage ? Ou j'ouvre ma gueule d'amour, et je vais aux devants de réflexions sur mon côté maniaque ? J'ai déjà fait quelques remarques, mais... 

J'opte pour l'option sadique, et je lui propose d'aller se laver les mains dans les urinoirs publics ? Après tout, c'est stérile, non ?
Non ? Ah, bon. Je suis le mal, je sais.
Je lui demande ce que la réciproque lui ferait ?

 

* ° *

 

uro4 fs1Ayant déjà abordé le sujet "uro" avec lui, ça ne l'attire pas. Il m'a dit de faire ça avec mon amant. Je n'ai pas trouvé d'amant urophile ; bon, d'accord, je n'ai pas cherché non plus. (Non, je ne cherche pas d'amant, urophile ou pas... inutile de m'envoyer vos candidatures !) ;)

Je peux très bien lire un récit érotique avec ce thème-là, sans que ça me dérange. Selon l'écriture, le contexte, les connivences, ça peut me plaire, même. En vidéo, je n'irai pas rechercher activement ces scènes, mais j'en ai vues des spontanées, sous le plaisir, et je n'ai pas été choquée.


Dans l'idée, cette pratique ne me rebute pas non plus. Elle est selon moi l'exemple de la confiance absolue, de la complicité extrême, du rejet de tous les tabous, de l'abandon total. Mais quand elle est faite avec le consentement de chacun, et en toute connaissance de cause. Quand c'est un jeu, quand c'est ludique. À partir du moment où c'est fait en solitaire, sans connotation sexuelle particulière, sans l'accord de l'autre, sans désirs... le côté simplement hygiénique reprend le dessus.

Monsieur veut que je fasse autre chose que ces basses tâches méprisables ? Il s'arrange pour m'éviter une dose supplémentaire de travail, alors, s'il me respecte un tant soit peu.
Ou alors, on tente de faire de cet... épanchement, un acte complice. La photo que j'ai retouchée en "dessin" (pour adoucir l'image crue) a quelque chose d'érotique et de fort, je trouve ; entre autres, les deux mains sur la fesse de la femme, et l'élan de pénétration, qui accompagnent la libération du liquide chaud.

Et vous ? Attirance, dégoût ? Expériences vécues ? À donner, ou à recevoir ?
... Des sites ou des témoignages instructifs à ce sujet ? (Sait-on jamais...)
Est-ce une pratique liée au BDSM ?

J'ai lu quelques textes, notamment sur « le zèle du désir ». Voici un exemple de jeu, de complicité, liés à une domination... Celui-ci, sur un autre blog, est "mignon" et traduit bien l'aboutissement de la complicité, arrive même à en faire un acte à la fois étonnament simple, et fort.

 

* ° *

 

Terminons sur une note poétique. L'urophilie est aussi appelée "ondinisme". Je viens de l'apprendre (il faut toujours s'instruire), en faisant quelques recherches. C'est joli, ça. Ondine est une nymphe des eaux, dans la mythologie germanique.


 

« Les ondines, à l'inverse des sirènes, ne fréquentent pas la mer, mais les eaux courantes, rivières, fontaines, et n'ont pas de queue de poisson. Elles aiment se tenir assises sur la margelle des fontaines, et peigner leurs longs cheveux. Elles aiment également se baigner dans les cascades, les étangs, et les rivières, à la faveur des jours radieux d'été. On dit que celles qui ont les cheveux couleur d'or possèdent de grands trésors qu'elles gardent dans leurs beaux palais immergés.

On attribue l'alimentation en eau des fontaines aux larmes des Ondines, et celles-ci se tarissent dès qu'une fée se sent offensée. Ainsi, il est de coutume de laisser diverses offrandes auprès des fontaines, tels que guirlandes de fleurs, épingles ou tessons de bouteilles, qui sont pour les fées des eaux, de véritables trésors scintillants et miroitants dans l'eau. » 

 

Source Wikipedia ~       

 

 

Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 13 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
Communauté : les blogs persos
Samedi 19 février 6 19 /02 /Fév 02:43

 

Jeu de mots facile, j'en conviens.
Par contre, saviez-vous qu'une pipe peut aussi être culottée, teintée par l'usage ? Je viens de l'apprendre.

 

 

En l'espace de quelques jours, j'ai lu deux messages, qui ne m'étaient pas spécifiquement adressés (et pour cause)...

 

IMGP3164boc- Le premier, d'un lecteur (je présume) discret, inscrit sur Facebook. Peut-être se reconnaîtra-t-il. ;) Il souhaitait "vivre éternellement auprès de femmes sans culotte".

- Le second, sur un site en faveur du "no culotte". Mettre une culotte relèverait de la provocation, car on en voit la trace sous les pantalons, voire le haut dans le dos, avec les jeans taille basse, par exemple (création du démon, pour sûr).


C'est certain, un homme trouvera moins évocatrice l'attitude d'une femme croisée dans la rue, quand il comprendra qu'elle ne porte rien dessous, ou en apercevant le sillon fessier de la dame, dévoilé par un pantalon facétieux ! ... Si des femmes trouvent ça vulgaire ? Elles ont été conditionnées, c'est simple. Puis je ne comprends rien aux hommes. C'est dit.

 

J'avoue, j'ai hésité entre le rire, la moquerie (c'est mal), ou l'énervement de tant de mauvaise foi. Je peux comprendre l'attrait pour cette pratique, mais pas pour ces arguments douteux.  Disgracieux, un élastique qui se voit, je veux bien. Excitant bassement l'homme, j'en doute ! (Mais je ne comprends rien aux hommes. Je sais.)

 

J'en ai donc judicieusement déduit que "mon" lecteur discret, était en fait un homme très prude, rejetant la vulgarité et les tentatives aguichantes. Pourtant, son pseudo laissait assez clairement supposer une addiction aux joies du sexe.
Je suis perdue... ;)

 

~ ~ ~ ° ~ ~ ~

 

Moi, je suis une fille très culottée. 

 

Sans dessous, d'accord, mais au gré des folies passagères, pour se retrouver sens dessus dessous. Pas par habitude.
Pour surprendre, voir l'étonnement et la malice dans le regard de l'homme, quand il réalise.
Par jeu, provocation complice. N'être que deux à savoir... et se demander si d'autres le devineront. Je me souviens d'une après-midi d'été, en voiture et fenêtres ouvertes, les doigts de mon homme cheminant de mon genou jusqu'à l'intérieur de mes cuisses. Un "donne moi ta culotte" plus tard, je sentais l'air me caresser, si j'ouvrais lentement mes jambes. A la fois doux et excitant. Tout s'est corsé quand nous nous sommes arrêtés dans ce joli village pour une petite promenade. Ma jupe aussi était mouillée... Une tache sans équivoque !


 

Avec dessous, parce que tout simplement, déjà, j'aime la lingerie.
Avec,
pour la mise en valeur du corps féminin, de ses courbes. Pour révéler un postérieur, plus que pour le cacher.
Pour le plaisir de se laisser découvrir, pour le regard masculin posé sur moi, quand l'envie de me déshabiller devient évidente.
Pour le toucher, les étoffes, les couleurs, les rubans, les dentelles, les noeuds, les broderies, le doux, le lisse, le velouté, les reliefs...
Pour donner le ton, selon les humeurs : sage simplement en coton, féminine en culotte, sexy en string, provocante en dentelles, en rouge, séduisante et troublante en noir, pudique en écru...

 

 

Et puis, surtout, j'aime quand mon homme me déculotte enfin après avoir fait monter le désir, quand la tension est à son comble. Je fonds sous les différentes manières de faire glisser le tissu, de lentement dévoiler mes fesses... Profiter de la dentelle caressant mon postérieur pour le laisser à l'air libre... ou bien tout enlever à la hâte, happés par nos envies. Parfois, c'est moi, qui craque en premier, quand j'ai envie qu'il me prenne, tout de suite.

 

Ou encore, garder le sous-vêtement, sentir les doigts de l'amant se faufiler, chercher, s'insinuer, donner du plaisir... quoi de plus étourdissant ?
J'apprécie aussi ces moments dans l'urgence, où, sans prendre le temps de me déshabiller entièrement, il me pénètre animalement. Un petit goût d'interdit, comme si les désirs ne nous laissaient pas le temps de faire les choses posément, comme si l'on pouvait nous surprendre d'une seconde à l'autre. Je ne suis pas libre de tous mes mouvements, ces fois-là, mais cette entrave rajoute une dimension excitante.

 

Avoir la certitude que mon string est humide, voire trempé, anticiper la main masculine qui va bientôt découvrir cette soif sur laquelle je n'ai pas mis de mots... J'aime cet aveu dans le silence.

      

 

draw81oc

 

 

Ceci était mon cinquantième article ! ;)        

 
 

Publié dans : Douceur émoi - ~ Découvrir les 14 commentaires ~ - ° Esquisser un petit mot (doux) °
Communauté : les blogs persos
Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 02:52

 

                          Mon portrait chinois, pour le nouvel an... chinois.


 

transparenceJe réponds à l'invitation de Madame Ose sur son blog  Métamorph{OSE} et vous incite, tout comme elle l'a fait, à vous dévoiler à votre tour, soit ici par le biais des commentaires, soit sur votre blog (auquel cas, guidez-moi en me laissant un lien)...

 

Portrait chinois version sensuelle...

Qui jouera le jeu, et révélera le pourquoi de ses réponses ?

 

 

Si j'étais... Je serais...

 

 

 


• une matière :

J'ai envie de dire, de la dentelle. Pour les jeux de transparence, les jeux d'ombres. Pour ce que ça dévoile, plus que ça ne cache. Un peu comme moi, un brin de pudeur, mais aussi un côté très féminin, élégamment provocateur...
Assez étrangement, les matières plus "nobles" ne m'attirent pas forcément, je ne m'y reconnais pas. Soie, satin... glissent trop, trop vite. Je préfère quelque chose qui s'ôte plus lentement.
J'aurais pu dire, en toute simplicité, le coton. Parce que je suis aussi une fille simple. ;)
Puis-je rajouter... la cire ? Fondre pour le plaisir, être grisante et chaude, sous des abords durs et froids, si on ne s'attarde pas...  

 

• une couleur :

Ces temps-ci, le rouge ! Provocante, un peu. Envie d'évoquer, d'éveiller le et les désir(s). Besoin de chaleur, de couleur vive. Envies de vie. Envie d'être séduisante, entreprenante... osée.
Mais le noir me va bien, aussi. Plus mystérieuse, mais tout aussi femme.
L'écru, pour mon côté sage, posé, pour mes envies de retrouver un peu d'innocence. 

 

• un sens :

Au premier abord, je dirais le toucher. Caresser est un réel bonheur. Frôler, du bout des doigts, faire frissonner... ou plus fermement, prendre à pleine main. Découvrir sans la vue, lire un corps masculin avec mes mains... ou ma langue.
lingerie 01Mais je réalise aussi que l'odorat me correspond. Sensible aux effluves mâles, au souvenir olfactif quand il a quitté l'appartement, aux senteurs de mon lit... J'aime trouver sur le corps de mon homme tous ses parfums, du plus subtil au plus viril. Celui qui me trouble le plus est peut-être celui qui se cache au creux de sa nuque : peau si chaude, cheveux, transpiration, shampooing...
... et se détache l'arôme d'une petite fleur jaune, qui me rappelle mon enfance au bord de l'Océan.
*  Un truc rien qu'à lui, qui a fait remonter doucement des souvenirs enfouis profondément, un soir. Je n'avais pas trouvé de suite...
L'ouïe, parfois, me va bien. Les yeux bandés, pour découvrir ces notes infimes, ces détails qu'on oublie en temps normal : le froissement des draps, le mouvement des corps, le souffle de l'amant sous le plaisir, sa respiration qui se déplace, le cliquetis des menottes en cuir, le sifflement de la cravache. Et j'en oublie. 
 

• une caresse reçue :

Sur le haut des fesses. Le must, peut-être, juste au-dessus du coccyx. Le hic : une telle confusion entre excitation et délicatesse, que je ne sais pas comment réagir.
Ou juste sous l'arrondi de ma croupe, en haut des cuisses. Quand il glisse sa main, là... je ne réponds plus de rien.
Ou encore, la nuque. Tendresse et érotisme.  Ou sa main, la nuit, pour des câlineries innocentes, inconscientes vu son sommeil. Ou sa langue sur mon sein, juste du bonheur...
Une dernière ? La corde, douce, lors des séances de shibari, quand elle passe et re passe, afin de dessiner cet attachement si particulier.
 

 

• une caresse donnée :

Ma langue, pour envelopper l'homme d'une douce tiédeur. Pour jouer, quand elle se fait coquine. Pour laisser des courbes humides sur son sexe bandé, avant qu'il pénètre ma bouche. Ma langue qui s'insinue, passant de ses bourses à son périnée, puis de son périnée à... Son abandon dans ces moments-là est un des plus troublants cadeaux qu'il puisse me faire. 
Mes mains, sur ses fesses, dans son dos, ou glissant à l'intérieur de ses cuisses.
Mes doigts, sur sa nuque, pour détendre, dire mes émotions, mes sentiments.
Mes lèvres, pour juste effleurer sa peau, tout en respirant lentement pour garder le souvenir.
Souvenir, toujours : mes doigts s'insinuant sous les manches de sa chemise, lors de notre première rencontre, pour toucher sa peau et découvrir sa chaleur surprenante. Caresse innocente, presque, et pourtant tellement érotique pour moi, à cet instant. La découverte de ce qui était caché, encore  juste à lui. La recherche d'un contact plus particulier...

  

immortelles• une senteur :

Le freesia. Il m'enchante, et il me va bien. Association de légèreté, finesse, fraîcheur. Un peu de printemps pour vivifier, discrètement, et pourtant, un quelque chose de clairement poivré, qui impose sa présence.
Et je reviens sur la petite étoile que vous avez aperçue dans le paragraphe "un sens" :

* ... Et se détache l'arôme d'une petite fleur jaune, qui me rappelle mon enfance au bord de l'Océan. Les dunes, le sable, les vagues... Instant d'évasion grâce à lui (qui ne le sait pas) et grâce aux immortelles des dunes.
 Si j'étais... je serais donc cette senteur, pour être sur sa nuque.   

 

• une émotion :

Qu'entend-on par "émotion" ? « Emotion primaire : admiration/surprise, amour, désir, haine, joie, tristesse. » Se rajoutent dégout, peur, colère... et plein d'autres émotions dites secondaires. Pour moi ceci dit, l'amour est plus profond qu'une émotion, il est un sentiment.
Mais va pour l'amour, alors, qui pousse à avancer, rend fort, tient chaud, nous donne envie d'être meilleur et généreux.
Ou bien le désir, avec un zeste de passion. J'aimerais être désir, pour renaître dans les yeux de mon homme, sous ses doigts, dans ses gestes, ses paroles... retrouver ce qui s'est doucement éteint.
La mélancolie, parfois ; la nostalgie de cette époque où nous étions juste amants, débordant de tentations, d'interdits à braver avec délice, où il me dévoilait ses envies et ses... sentiments, ses émotions.
La confiance, la sincérité, la tendresse, que je décèle encore, après les jeux de
domination. En tous cas, moi je suis tout à la fois, dans ces minutes précieuses. 

  

• une lueur :

Celle d'une bougie. "Chal-heureuse", invitant l'intimité, la sensualité, le calme... Vacillante et fragile, pourtant.
Celle dans les yeux de mon amant, quand il se laisse aller à être mâle sans être le mal. Celle qu'il avait encore il y a quelques mois, quand il me découvrait en lingerie, au détour d'un couloir, d'une porte franchie sans savoir (cf "nostalgie")...
 

 

• une citation :

« Il faut savoir prendre son temps, ralentir, suivre ses instincts et goûter la sensualité au quotidien. C'est l'essence même de la vérité. » Calvin Klein.
La "sensualité au quotidien", que je recherche, veux être... qui m'enrichit. Se poser, et profiter de petits bonheurs simples. Même si ce n'est qu'une minute ou deux, stopper tout, et profiter. S'embrasser, se caresser, même furtivement, mais vivre l'instant. Me blottir contre lui, avant d'entamer une journée à l'emploi du temps implacable. Respirer son odeur encore là, dans les draps, quand il est parti. Garder ses frôlements sur ma peau, tandis qu'il dort... 

 

• un accessoire :

Mis à part le classique foulard, qui ôte la vue mais exacerbe les autres sens, rend l'attente, l'anticipation, insoutenables et exaltantes ? Je ne sais pas trop.
Une guêpière ?  Pour mettre en valeur les courbes féminines, pour donner envie de toucher... pour le plaisir d'être déshabillée. Pour les différentes étoffes, douces ou dentelles, les rubans, les lacets.
Un petit appareil photo, pour immortaliser ces rares secondes où l'émotion m'envahit, à la vue d'une pose, d'un grain de peau, d'une main endormie, d'un corps à l'abandon, d'un rayon de lumière sur une peau masculine ou d'une ombre sur une épaule... 
 

 

• une ville :

Si j'étais une ville... Venise ? Mais Venise en hiver, sans touriste, Venise plus grise, Venise qui intrigue et fascine, inspire. Son atmosphère si romantique, sa douceur mystérieuse. Lors d'un voyage, j'ai été marquée par la brume, les ruelles ou les canaux déserts et silencieux... le calme.   

          

 

Merci à ceux qui m'ont envoyé des messages,
et incitée plus ou moins directement à me remettre à l'écriture...

 

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  • 48 ans, divorcée. Avec l'envie de découvrir toujours plus. À la recherche d'émotions, de complicité et de douceur. Aime la photo ; s'enrichir au contact des autres ; écrire, aussi, trouver les mots pour révéler les sentiments.
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Tout a commencé en juillet 2010... L'ombre et les caresses se sont presque imposées. Venues naturellement, avec le désir de confier ces pensées légères, sensuelles, ces souvenirs, doutes ou questions.

 

Quant aux photos, les miennes sont "estampillées" des mots Ombres et Caresses.

 

 

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 Instants désirs :  en solo... Envies, rêves, fantasmes.

Duo de caresses :  en couple.

 Ombres libertines :  voire plus...  

Bulles de liberté :  heures légères et autres hommes.

 Frissons :  photos, auto-portraits. 

En quelques mots :  pensées, émotions, sur le vif.

Souvenirs, petites choses :  souvenirs, bonheurs.

Murmures & plumes :  récits et lectures.

 

 

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      (x)  Dormir tout contre lui.
      (  )  Faire des photos sur le bondage.
      (  )  Faire des photos au chocolat...
      (  )  Lire tous ces livres pour adultes. ;)
      (x)  Finir "Des désirs et des Hommes".
      (  )  Terminer l'article sur la domination.
      (x)  Faire des photos ombres & bougies.
      (x)  Tenter la cire... à deux. 
      (  )  M'occuper de moi, encore.
      (x)  Tester une séance de shiatsu.
      (x)  Faire l'amour !
 
                                                                 
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J'aime... ma fille, les chats et leurs ronronnements, le chocolat, la sensualité, la lingerie, m'habiller en noir, l'animalité, les fellations :p être attachée, les morsures amoureuses, la complicité, les caresses, les massages... la photo, la musique qui me fait pleurer, la musique dans ma bulle, écouter jouer mon musicien, regarder un bon film... les bougies (pas que pour la cire) et les luminosités douces, la Bretagne, les Alpes, les cascades, les ruisseaux, la mer et l'Océan, le bruit des vagues... les mains masculines, respirer au creux du cou d'un homme, dormir contre mon amant, embrasser sa peau... l'innocence des bébés, les sourires, les freesias, les flocons de neige et le silence feutré qui va avec... le parfum de l'air après la pluie, l'odeur du café au lait et du pain grillé... les fraises.

Je n'aime pas... le mépris, la violence, l'égoïsme, l'ingratitude, l'irresponsabilité, le manque de maturité, la mauvaise foi, la vulgarité... les dentistes, les serpents, le foie de veau, les parapluies, les cheveux électriques, le bordel, les mimes, les clowns... me lever tôt, qu'on juge ma timidité, les chiens qui ne se lassent jamais d'aboyer... vivre dans l'ignorance.

 


 

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"Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées."

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"L'érotisme, c'est quand on le fait, le porno, c'est quand on le regarde."
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"L'innocence est quelque chose de très érotique."
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